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Malgré un repli mondial généralisé dû à la crise financière, de nombreux pays africains connaissent une croissance économique rapide et offrent de nombreuses opportunités d’investissement, allant bien au-delà de la simple exploitation des ressources. Les économies africaines se préparent donc à attirer des niveaux plus élevés d’investissements directs étrangers (IDE) dans leurs économies. Elles se rendent compte du potentiel de l’investissement international, en particulier des IDE, pour compléter l’épargne nationale et, plus important encore, pour apporter des compétences, du savoirfaire, une technologie et un accès au marché. De nombreuses étapes de réformes louables ont été menées à bien dans les domaines de l’amélioration du climat commercial pour les investisseurs étrangers, en particulier en ce qui concerne la stabilité politique et économique, dont l’importance est corroborée par de nombreuses études sur les IDE en Afrique (ONUDI, 2007). En conséquence des modifications des cadres macro-économiques et réglementaires des affaires, la plupart des pays africains ont régulièrement enregistré des afflux d’IDE depuis le début des années 2000 jusqu’à la crise financière, mesurés en termes de volume d’investissements. Même pendant la crise financière, la diminution de la demande mondiale et les contraintes financières qu’elle a engendrées pour les grandes multinationales ont eu beaucoup moins d’impact sur le volume de flux d’IDE en Afrique subsaharienne que dans les autres régions du monde (CNUCED, 2011).

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