Climate Action
Coronel: Hay que actuar con rapidez
Apático y soporífero. Según el artista conceptual franco-danés Thierry Geoffroy, alias “Coronel”, ese es el estado de la opinión pública y la actitud de los medios de comunicación con respecto al cambio climático. Poco a poco, sus lemas, que oscilaban del “Antes de que sea demasiado tarde” al “Mañana es demasiado tarde”, se redujeron a un simple “Demasiado tarde”. Paradójicamente, es en la desesperación donde encuentra consuelo.
Notre invité: Bakou, cité multiculturelle
Vieille de plusieurs millénaires, la cité fortifiée de Bakou, la capitale azerbaïdjanaise, garde les traces de présences zoroastrienne, sassanide, arabe, perse, shirvani, ottomane et russe. La ville moderne, née du premier boom pétrolier à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, détient un patrimoine culturel tout aussi éclectique. Grâce à sa baie et la proximité des routes caravanières, la ville a toujours été traversée par de multiples courants. Ce qui a donné une diversité harmonieuse hors du commun, qui se reflète aussi bien dans son architecture que dans son esprit cosmopolite.
Grand angle: Enjeux philosophiques et éthiques du changement climatique
L’humanité est en débit. Année après année, elle consomme plus de ressources que la nature peut lui en procurer. Cette surconsommation a un effet direct sur le climat. Pour mieux en comprendre les enjeux, le philosophe et biologiste Bernard Feltz éclaire les rapports complexes entre l’homme et la nature avant de se pencher sur les aspects éthiques de la gestion de l’évolution climatique.
Petites îles, montée des eaux
« On sait qu’avec une élévation d’un niveau de la mer de 1,5 m, des centaines de millions de personnes mourront. Ils seront tout simplement balayés », a déclaré à la Chronique de l’ONU le Président Mohamed Nasheed de la République des Maldives deux jours seulement après avoir évoqué la situation de son pays devant les autres dirigeants mondiaux au Sommet sur le changement climatique de l’Assemblée générale de l’ONU en 2009.
Au-delà des marchés du carbone
Les grands titres sur les mécanismes d’échange du carbone au coeur du Protocole de Kyoto, notamment le Mécanisme pour un développement propre (mdp), donnent une idée des difficultés du projet. Mais quelles sont les raisons de cette controverse ?
Le changement climatique aura-il un impact sur le droit à la santé et au développement ?
Dans un site de construction couvert de poussière situé à l’ouest de la Chine, M. Tan est un travailleur migrant parmi de nombreux autres. Mais cet ancien agriculteur modeste doit aussi faire face à une série complexe de crises qui menacent la santé mondiale.
Le réchauffement climatique et les surges glaciaires
Le climat de la Terre enregistre des variations et au cours les derniers milliers d’années a connu des périodes de réchauffement et de refroidissement. Au XVIIe siècle, le Sud de l’Europe a connu des hivers rudes et longs, appelés le « petit âge glaciaire ». Dans les tableaux des grands maîtres flamands, les canaux sont gelés et la Hollande est couverte de neige.
Innovations financières et marchés du carbone
Pour la première fois dans l’histoire, les activités humaines ont des conséquences sur la planète qui peuvent mettre en danger ses systèmes de base essentiels à la vie. Ces activités transforment rapidement l’atmosphère de la planète, ses étendues d’eau et la variété des espèces vivantes. Les émissions de dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre causées par les activités anthropiques ont changé l’atmosphère de la Terre, entraînant un changement climatique potentiellement catastrophique qui peut menacer la survie de la civilisation humaine. C’est une réalité et un phénomène qui se produisent sous nos yeux. Alors que les calottes polaires et le permafrost au Groenland commencent à fondre, le niveau de mer augmente. En Alaska, des villes entières sont submergées par les eaux. Des espèces comme l’ours polaire sont en voie d’extinction. Des États insulaires comme les Seychelles et des pays à faible élévation comme le Bangladesh risquent de disparaître dans l’océan. Et des centaines de millions de personnes pourraient connaître le même sort. On estime qu’il y aura 50 millions de « réfugiés environnementaux » d’ici à 2010 et plus de 200 millions d’ici à 2050 – soit une personne sur 45.
UN environment at work. Fighting chemical and waste crime
Rapid economic growth is greatly increasing the generation of hazardous and other waste: it is projected to reach 27 billion tons worldwide by 2050. Its movement across boundaries is also on the rise across much of Asia and Africa despite the fact that the Basel Convention requires the country of origin, when exporting hazardous and other wastes, to obtain the written consent of the country receiving them. This is largely due to higher recycling costs in countries of origin than in receiving ones where environmental regulations are less stringent and labour is cheaper.
Cutting down deforestation
Amazonia is the largest of the six Brazilian biomes, spanning 420 million hectares – or about 49 per cent of the national territory – of which 320 million hectares are covered by natural forests.
Smuggling destruction
It was a warm July day in 1997 when a fax arrived at the London headquarters of refrigerant company Trans-Cool Trading from a Chinese chemicals supplier. It was sent in response to an enquiry about the possibility of importing banned chlorofluorocarbons (CFCs) into Europe.
A formidable effort is needed
Environmental crime does not only hurt animals or forests. It's dangerous for humans too. Many forms of environmental crime are serious, organized and transnational, weakening the very fibre of our societies. Not only is it the world's fourth largest illegal economy, it is also growing many times faster than the legal one. Many forms of environmental crime are profit driven, no-risk, and contribute to financing terror networks, war and armed conflicts. Let's be straight: we are talking about a global security challenge.
Serious, and growing
Environmental crime is the fourth largest criminal enterprise after drug smuggling, counterfeiting and human trafficking. But this statistic – perhaps the most commonly cited regarding environmental crime – fails to recognize the nature or scope of the problem, and implies it is less serious than other forms of crime.
La migration environnementale sera-t-elle massive ?
Alors que quelques pays sont historiquement responsables du changement climatique, la communauté mondiale devrait-elle assumer la responsabilité vis-à-vis des réfugiés environnementaux, même s’ils ne traversent pas les frontières internationales ? Certaines concessions en matière d’immigration ne devraient-elles pas être offertes à ces personnes quand elles doivent traverser les frontières ? Ce sont des questions importantes qui se posent dans le contexte des changements climatiques qui surviennent dans le monde.
Des moyens de subsistance menacés les peuples autochtones et leurs droits
Les chasseurs inuits qui vivent dans le nord du Groenland marchent avec précaution sur la glace dont l’épaisseur diminue, alors qu’en même temps les animaux dont ils dépendent – phoques, morses, narvals et ours polaires – s’éloignent des zones où ils sont habituellement chassés, répondant à leur tour à la transformation des écosystèmes locaux. Dans les hautes montagnes de l’Himalaya, les Sherpas, les Tamang, les Kiranti, les Dolpali et d’autres groupes autochtones constatent que les glaciers fondent. Il est en de même dans d’autres régions montagneuses du monde, comme dans les Andes péruviennes où les Quechua suivent avec inquiétude le recul des glaciers au sommet des montagnes. Dans le désert de Kalahari, les San ont appris à affronter les périodes de faim et de pauvreté, périodiques mais bien trop fréquentes, résultant de la combinaison d’événements économiques, politiques, environnementaux et climatiques. Les San, comme d’autres groupes d’autochtones, ont dû adopter des stratégies ingénieuses pour affronter les changements climatiques et leurs conséquences, mais ils constatent aujourd’hui que ces changements sont différents de ceux dont ils se souviennent. Partout dans le monde, les peuples autochtones sont confrontés à des changements climatiques qui ont des effets sans précédent sur leurs terres, leurs cultures et leurs moyens de subsistance.
Le changement climatique et notre avenir commun
Un jour, j’ai vu un tract qui appelait à un rassemblement pour arrêter le changement climatique. Beaucoup ne semblent pas savoir que le climat change tout le temps et qu’on ne peut arrêter les changements climatiques. Ces changements, toutefois, varient quant à leur fréquence et leur intensité et résultent de nombreux facteurs, comme la distance entre le soleil et l’équateur, qui contribue au bilan thermique de la Terre, et la différence de température entre l’équateur et les pôles plus froids causée par la déviation de l’orbite de la Terre ou les variations du rayonnement solaire.
La biotechnologie — Une solution à la faim ?
La faim et l’insécurité mondiales sont un problème récurrent dans la plupart des régions du monde en développement. Parmi les nombreuses biotechnologies qui sont disponibles et les différentes applications, la modi- fication génétique (GM) des cultures devrait recevoir une attention particulière. Les cultures génétiquement modifiées possédant des gènes provenant d’espèces différentes pourraient alléger les pénuries alimentaires. Malgré l’optimisme initial suscité par l’utilisation des OGM qui permettent d’augmenter le volume et la qualité des récoltes, des questions demeurent sur leurs bénéfi- ces. En outre, le public n’est pas toujours favorable à la création de ces plantes comme option viable pour résoudre la faim dans le monde.
Les coûts réels des énergies traditionnelles
« Les énergies renouvelables sont chères – elles sont bien au-delà de nos moyens ». J’ai entendu cet argument maintes fois. Or, rien n’est plus faux. Les coûts de l’énergie renouvelable ne sont pas plus élevés que ceux des énergies traditionnelles. Le public confond coûts et prix. Il faut qu’il comprenne que les prix du marché des énergies traditionnelles ne reflètent pas la réalité.
Un avenir pour l’Afrique
Dans un petit village situé à l’ouest de la Zambie, le roi des Lozi – le Litunga – demande à son peuple de quitter les terres basses et de se joindre à lui pour participer à une cérémonie afin de célébrer la saison des pluies qui fertilisent leurs terres. Mais ces deux dernières années, il n’y a pas eu de célébrations. Les pluies sont arrivées plus tôt que prévu, provoquant des inondations dévastatrices. Les Lozi considèrent que cette situation est due aux changements climatiques. « Les saisons ont changé. C’est une véritable catastrophe », commente Bennet Imutongo Sondo, l’induna de 74 ans ou chef du village de Liyoyelo dans le district de Mongu, en Zambie.
África: a la conquista del oro azul
Considerado un sector estratégico por un número creciente de países africanos, la explotación de actividades relacionadas con el mar podría convertirse en un importante motor de desarrollo en los próximos años. Siempre que se redoble la lucha contra los efectos del cambio climático y la sobrepesca.
