الزراعة والتنمية الريفية والغابات
La participation des femmes à la transformation des conflits et de l'extrémisme violent
Peu de pays dans le monde connaissent des situations politiques, sociales et économiques et des défis liés à la sécurité aussi complexes que le Pakistan. Ce pays, qui compte 200 millions d’habitants, est composé de dizaines de groupes ethniques et minoritaires et de nombreuses tribus qui ont coexisté en paix pendant des décennies. Pourtant, ce pays est, depuis ces 15 dernières années, aux prises avec un extrémisme violent sous différentes formes. Dans la région de Khyber Pakhtunkhwa (KP) et dans les zones tribales sous administration fédérale (FATA), l’extrémisme est particulièrement violent et touche les femmes de plein fouet. Veuves, victimes ou ayant survécu à des attentats-suicides à la bombe, elles sont aussi déplacées et traumatisées. Les hommes de la famille combattent ou sont morts et de nombreuses femmes se retrouvent de fait à la tête de leur famille, ayant la responsabilité de nourrir, d’élever et d’héberger les personnes âgées, les jeunes et les blessés. Cependant, leur mobilité, l’accès à l’éducation et aux établissements de santé et leur capacité à s’occuper pleinement de leur famille sont gravement compromis. Les extrémistes ont exploité les femmes au nom de la religion, les contraignant à lever des fonds et à envoyer leurs propres fils ainsi que ceux d’autres membres de leur famille et de leur communauté travailler avec les extrémistes et pour eux, en particulier dans la région de Swat. Souvent, les femmes ont soutenu les extrémistes en leur confectionnant des vestes suicide, en collectant de l’or et de l’argent, en servant d’informatrices et en leur offrant un abri.
Informations juridiques relatives — la convention des nations unies sur le droit de la mer
Communications des états
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Otras informaciones pertinentes para el Derecho del Mar
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Autres informations relatives au droit de la mer
Convention des nations unies sur le droit de la mer
État, au 30 novembre 2018, de la Convention Des Nations Unies sur le droit de la mer, de l’Accord relatif à l’application de la partie XI de la Convention et de l’Accord aux fins de l’application des dispositions de la Convention relatives à la conservation et à la gestion des stocks de poissons dont les déplacements s’effectuent tant à l’intérieur qu’au-delà de zones économiques exclusives (stocks chevauchants) et des stocks de poissons grands migrateurs
Autres informations relatives au droit de la mer
United nations convention on the law of the sea
Status of the United Nations Convention on the Law of the Sea, the Agreement relating to the Implementation of Part XI of the Convention and the Agreement for the Implementation of the Provisions of the Convention relating to the Conservation and Management of Straddling Fish Stocks and Highly Migratory Fish Stocks, as at 30 November 2018
Communications des états
Communications by States
Communications by states
United Nations Convention on the Law of the Sea
STATUS OF THE UNITED NATIONS CONVENTION ON THE LAW OF THE SEA, THE AGREEMENT RELATING TO THE IMPLEMENTATION OF PART XI OF THE CONVENTION AND THE AGREEMENT FOR THE IMPLEMENTATION OF THE PROVISIONS OF THE CONVENTION RELATING TO THE CONSERVATION AND MANAGEMENT OF STRADDLING FISH STOCKS AND HIGHLY MIGRATORY FISH STOCKS, AS AT 31 JULY 2019
China’s return migration and its impact on home development
I’m not broken, just bent
The German writer, Thomas Mann, having escaped fascism in 1933, wrote that he was “too much of a good German and too much linked to the cultural traditions and to the language of [his] country,” to be able to accept the idea of his exile without feeling extremely apprehensive.
The responsibility to protect
At the 2005 World Summit, all Heads of State and Government affirmed the responsibility to protect populations from genocide, war crimes, ethnic cleansing and crimes against humanity. The responsibility to protect (commonly referred to as ‘RtoP’) rests upon three pillars of equal standing: the responsibility of each State to protect its populations (pillar I); the responsibility of the international community to assist States in protecting their populations (pillar II); and the responsibility of the international community to protect when a State is manifestly failing to protect its populations (pillar III). The adoption of the principle in 2005 constituted a solemn commitment, which included much expectation of a future free of these crimes.
