Study on role of the railways during the pandemic and how they can assist in the post-pandemic recovery. The study identifies good practices within member States and provides information on how to facilitate the recovery of the railways in order to encourage passengers back to transport in a more sustainable manner.

Figurant parmi les rares publications de suivi des tendances mondiales liées aux technologies de l’information et de la communication (TIC) dans une perspective de développement, cette publication constitue une référence précieuse pour les décideurs politiques des pays en développement. Une attention particulière est accordée aux TIC dans l’accélération du développement du secteur privé (DSP) dans ces pays. De nombreuses stratégies nationales et des bailleurs de fonds liées au DSP ne prennent pas suffisamment en compte le potentiel des TIC, qui s’est considérablement accru grâce à l’évolution du paysage mondial des TIC. Différentes facettes de l’interface TIC-DSP sont explorées, notamment : l’infrastructure des TIC comme facteur du climat d’investissement ; l’utilisation des TIC par le secteur privé ; le secteur des TIC en tant que composante du secteur privé ; et enfin, l’utilisation des TIC dans les interventions visant à faciliter le DSP.

Le Rapport sur l’économie de l’information 2013 propose une évaluation nuancée du rôle et de la valeur potentiels du cloud computing dans les économies en développement et en transition. Il examine trois axes principaux : l’état actuel de l’économie du cloud dans les pays en développement et ses impacts potentiels. À partir de ces éléments, il développe des approches politiques et réglementaires visant à faciliter l’adoption et l’utilisation du cloud et à en maximiser les bénéfices. C’est la première fois qu’un rapport du Secrétariat des Nations Unies examine les implications du cloud computing pour les pays en développement.

Les décideurs politiques des pays les moins avancés sont sous pression pour transformer les marchés du carbone d’en approche viable permettant d’atteindre les objectifs de développement durable et une transformation structurelle à faible émission de carbone. D’où la question de savoir si et comment ces marchés peuvent à la fois relever les défis propres à ces pays et les aider à contribuer aux efforts mondiaux d’atténuer les changements climatiques. Le rapport fait état des résultats de la participation passée et actuelle des pays les moins avancés aux marchés du carbone et identifie les opportunités et les risques liés au cadre émergent des marchés du carbone dans le contexte de l’Accord de Paris. Afin de maximiser les avantages des marchés du carbone pour les pays les moins avancés, le rapport fournit des recommandations concrètes aux décideurs politiques et aux négociateurs climatiques des pays les moins avancés, ainsi qu’à leurs partenaires de développement.

Le rapport annuel de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) est axé, cette année, plus spécifiquement sur les conséquences économiques de l’abus de substances. Le rapport se divise en 4 chapitres : Conséquences économiques de l’abus de substances ; Fonctionnement du système international du contrôle des drogues ; Analyse de la situation mondiale ; Recommandations à l’intention des gouvernements, des organismes des Nations Unies et des autres organisations internationales et régionales compétentes.

Le rapport annuel de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) est axé, cette année, plus spécifiquement sur les conséquences économiques de l’abus de substances. Le rapport se divise en 4 chapitres: Conséquences économiques de l'abus de substances; Fonctionnement du système international du contrôle des drogues; Analyse de la situation mondiale; Recommandations à l'intention des gouvernements, des organismes des Nations Unies et des autres organisations internationales et régionales compétentes.

Il s’agit du rapport officiel de la Commission du droit international à l’Assemblée générale sur sa soixante-quinzième session (29 avril-31 mai et 1er juillet-2 août 2024).

Ceci est le rapport officiel de la Cour internationale de justice à l’Assemblée générale.

Au cours de cette Décennie d’action des Nations Unies pour l’égalité des sexes, nous avons promis qu’il était temps de passer de la rhétorique à l’action et de travailler ensemble pour susciter un changement durable. Pour réussir véritablement dans ce domaine, diverses parties prenantes doivent venir à la table avec des engagements, des ressources et des actions. Par le biais du Forum Génération Égalité lancé au Mexique et en France l’année dernière, les leaders et partenaires mondiaux se sont engagés à éliminer les inégalités entre les sexes et à financer et mettre en oeuvre des lois, des politiques et des programmes pour atteindre les actions et objectifs prioritaires établis dans le Plan d’accélération mondial pour l’égalité des sexes. Ensemble, les porteurs d’engagement et les signataires des Coalitions d’action et du Pacte sur les femmes, la paix, la sécurité et l’action humanitaire ont construit un mouvement mondial ambitieux qui unit divers partenaires engagés dans la redevabilité collective envers les femmes et les filles. Cette redevabilité est la force motrice de ce rapport. Celui-ci fait le point sur l’état d’avancement des engagements audacieux pris en 2021 à l’issue de la première année de mise en oeuvre. Il met en lumière la nature des engagements et évalue comment chacun est assorti de progrès mesurables. Il met en évidence les lacunes et les tendances, et note les domaines dans lesquels des travaux supplémentaires sont nécessaires.

Le rapport annuel de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) est axé, cette année, plus spécifiquement sur les conséquences économiques de l’abus de substances. Le rapport se divise en 4 chapitres: Conséquences économiques de l'abus de substances; Fonctionnement du système international du contrôle des drogues; Analyse de la situation mondiale; Recommandations à l'intention des gouvernements, des organismes des Nations Unies et des autres organisations internationales et régionales compétentes.

Le présent rapport annuel porte sur les questions examinées par le Conseil de sécurité et les sujets portés à son attention, ainsi que ceux concernant les travaux des organes subsidiaires du Conseil au cours de la période considérée.

Le présent rapport annuel porte sur les questions examinées par le Conseil de sécurité et les sujets portés à son attention, ainsi que ceux concernant les travaux des organes subsidiaires du Conseil au cours de la période considérée.

Ceci est le rapport annuel soumis à l’Assemblée générale par le Conseil économique et social.

Ce rapport est publié en réponse à l'article 98 de la Charte des Nations Unies, qui charge le Secrétaire général de présenter un rapport annuel à l'Assemblée générale sur les travaux de l'Organisation. Il couvre neuf sections : (i) la promotion d'une croissance économique soutenue et d'un développement durable ; (ii) le maintien de la paix et de la sécurité internationales ; (iii) le développement en Afrique ; (iv) la promotion des droits de l'homme ; (v) une coordination efficace de l'aide humanitaire ; (vi) la promotion de la justice et du droit international ; (vii) le désarmement ; (viii) le contrôle des drogues, la prévention du crime et la lutte contre le terrorisme international ; et (ix) le fonctionnement efficace de l'Organisation. Le rapport souligne la manière dont le Secrétariat traduit les ressources en impact dans les domaines qui lui sont prioritaires.

Le Rapport du Secrétaire général sur l'activité de l'Organisation (A/77/1) est publié en réponse à l'article 98 de la Charte des Nations Unies et met en évidence la manière dont le Secrétariat de l'ONU traduit les ressources en impact. Le rapport couvre neuf sections: (i) promotion d'une croissance économique soutenue et d'un développement durable; (ii) le maintien de la paix et de la sécurité internationales; (iii) le développement en Afrique; (iv) la promotion des droits de l'homme; (v) une coordination efficace de l'assistance humanitaire; (vi) la promotion de la justice et du droit international; (vii) désarmement; (viii) lutte contre la drogue, prévention du crime et lutte contre le terrorisme international; et (ix) le bon fonctionnement de l'Organisation. Le livre électronique de cette publication a été converti en un format accessible pour les malvoyants et les personnes ayant des difficultés de lecture imprimée. Il est entièrement compatible avec les principales technologies de lecture d'écran telles que JAWS et NVDA.

Le Rapport du Secrétaire général sur l'activité de l'Organisation (A/79/1) est publié en réponse à l'article 98 de la Charte des Nations Unies et met en évidence la manière dont le Secrétariat de l'ONU traduit les ressources en impact. Le rapport couvre neuf sections: (i) Ouvrir des voies de développement durable; (ii) Favoriser la paix et la sécurité; (iii) Donner un élan à la croissance africaine; (iv) Défendre les droits humains; (v) Assurer l’aide humanitaire; (vi) Renforcer la justice et le droit international; (vii) Défendre la cause du désarmement; (viii) Combattre la drogue, la criminalité et le terrorisme; et (ix) Améliorer nos opérations. Le livre électronique de cette publication a été converti en un format accessible pour les malvoyants et les personnes ayant des difficultés de lecture imprimée. Il est entièrement compatible avec les principales technologies de lecture d'écran telles que JAWS et NVDA.

De nouvelles données de l’ONUSIDA sur la riposte mondiale au VIH révèlent qu’au cours des deux dernières années de COVID-19 et d’autres crises mondiales, les progrès contre la pandémie du VIH ont faibli, les ressources ont diminué et, par conséquent, des millions de vies sont en danger. Le nouveau rapport, En danger, est lancé avant la Conférence internationale sur le sida à Montréal, au Canada.

L'eau est une ressource qui n'est pas infinie et qui est non substituable. En tant que fondement de la vie, des sociétés et des économies, l'eau comporte de multiples valeurs et avantages. Mais contrairement à la plupart des autres ressources naturelles, il s’est avéré extrêmement difficile de déterminer sa véritable «valeur». L'édition 2021 du rapport mondial sur la mise en valeur de l'eau des Nations Unies, intitulée «Valuing Water» évalue l'état actuel et les défis de la valorisation de l'eau dans différents secteurs et perspectives et identifie les moyens de promouvoir sa valorisation en tant qu'outil pour aider à améliorer sa gestion et parvenir à un développement durable à l’échelle mondiale.

L’édition 2023 du Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau (WWDR) expose de quelles façons la construction de partenariats et le renforcement de la coopération, en lien avec tous les aspects du développement durable, s'avèrent indispensables à l’accélération des progrès pour atteindre les cibles de l’ODD 6 ainsi qu’au respect des droits humains à l’eau et à l’assainissement. Les partenariats et la coopération interviennent dans presque tous les projets ayant trait à l’eau. La gestion des ressources en eau, notamment, dispose d'une longue expérience des partenariats, eussent-ils été ou non fructueux. Le présent rapport se propose d’en tirer les enseignements nécessaires, en montrant comment il faut, pour accélérer les progrès, davantage d'une coopération productive et substantielle entre les acteurs des secteurs de l’eau, de l’assainissement et, plus largement, du « développement ».

Les ressources en eau que nous apportent les montagnes sont littéralement en train de fondre sous nos yeux. Les montagnes et les glaciers alpins, dont on dit souvent qu’ils sont les « châteaux d’eau » de la planète, sont de plus en plus vulnérables au changement climatique et aux activités anthropiques non durables, ce qui met en péril les ressources en eau dont dépendent des milliards de personnes et d’innombrables écosystèmes. Le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2025 — Montagnes et Glaciers : des châteaux d’eau attire l’attention sur les services essentiels et les bénéfices que procurent les eaux de montagne et les glaciers alpins aux sociétés, aux économies et à l’environnement. S’intéressant particulièrement aux solutions techniques et aux orientations politiques requises pour améliorer la gestion de l’eau dans les montagnes, le rapport aborde des problématiques fondamentales telles que l’approvisionnement en eau et l’assainissement, l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci, la sécurité alimentaire et énergétique, l’industrie, la réduction des risques de catastrophe naturelle ainsi que la protection des écosystèmes. Faire face à la crise mondiale de l’eau implique de commencer par le haut.

Le Rapport mondial sur les drogues 2019 comprendra un aperçu actualisé des tendances récentes en matière de production, de trafic et de consommation des principales drogues illicites. Le rapport contient un aperçu global des données de base et des estimations sur la demande et l'offre de drogues et constitue le point de référence pour les informations sur la situation de la drogue dans le monde.

Cette publication fait le point sur les tendances récentes du paysage numérique mondial axé sur les données, en examinant les opportunités et les défis pour les pays en développement. Il met en évidence les liens avec les impacts de la pandémie de Covid-19, qui a conduit à une accélération des tendances à la numérisation et à une augmentation significative des flux de données transfrontaliers. En mettant l'accent sur la perspective de développement, il examine en outre les implications des flux de données transfrontaliers et de leur réglementation, en tenant compte des discussions en cours et en fournissant une revue de la littérature connexe. Il examine diverses politiques que les pays appliquent en matière de flux de données transfrontaliers et explore les avantages et les inconvénients, en particulier pour les pays en développement, tout en abordant l'évolution des différentes approches de la réglementation aux niveaux international et regional.

Le Rapport sur la gouvernance en Afrique, publication la plus approfondie sur la question, observe et évalue les progrès accomplis par les pays africains dans ce domaine, identifie les déficits de capacités des institutions et propose des politiques et des interventions stratégiques propres à améliorer la gouvernance sur le continent.

Ce premier Rapport sur la gouvernance économique évalue l’architecture institutionnelle préconisée par les gouvernements africains pour bloquer les flux financiers illicites (FFI) et recommande des initiatives pour la renforcer. Les conclusions du rapport indiquent que les FFI continuent de prospérer, alors même que les pays africains ont essayé d’établir des cadres institutionnels conçus pour les combattre. Les FFI ont pour causes la corruption, le blanchiment d’argent, la surfacturation ou sous-facturation des échanges commerciaux pour transférer des fonds de manière illicite, ainsi que la fraude fiscale (y compris l’évasion fiscale des entreprises). Le rapport encourage une plus grande collaboration entre les administrations publiques, la coordination des rapports financiers, la suppression des mandats faisant double emploi, et un soutien politique constant aux réformes institutionnelles visant à lutter contre le phénomène. Le rapport suggère que les pays africains qui sont parties aux conventions internationales sur la corruption appliquent pleinement et alignent toutes les lois nationales régissant les organes de lutte contre la corruption. Les lois anti-corruption devraient viser expressément les FFI. Les pays africains doivent également renforcer les pouvoirs et l'indépendance des organes de lutte contre la corruption afin de s'attaquer efficacement à la corruption, au blanchiment d'argent, aux FFI liés au commerce et aux FFI à motivation fiscale. Ils doivent intégrer des systèmes de données dans tous les circuits économiques - banques centrales, autorités douanières, autres autorités fiscales, registres des sociétés, commissions boursières et institutions financières commerciales et non bancaires - afin de faciliter le suivi des transactions de corruption et des mouvements des produits de la corruption.

Le Rapport sur la Migrations en Afrique adopte une approche distinctement régionale pour informer les connaissances sur la migration en Afrique. Cette première édition, intitulée Remettre en Question Le Récit, vise à déconstruire les perceptions négatives de la migration en Afrique en abordant les réalités contextuelles et en mettant en lumière des interventions pratiques et des connaissances factuelles sur ce qui se passe sur le terrain.

Ce rapport analyse l'état de l'économie mondiale, un an et demi après que la Covid-19 a été élevée au rang de pandémie par l'Organisation mondiale de la santé. La première partie du rapport expose les principaux aspects macro-financiers de l'économie mondiale, en se concentrant notamment sur les perspectives de reprise de la croissance tout en analysant les menaces possibles liées à l'endettement public et privé, aux poussées inflationnistes ainsi qu'à un retour aux politiques du passé. Il accorde une attention particulière à la situation des pays en développement dans l’économie mondiale financiarisée et examine les questions de viabilité de la dette. Alors que cette année marque son 40e anniversaire, le Rapport revient également sur les analyses fournies dans les éditions précédentes en réponse aux chocs, aux revers et aux crises qui ont entravé le développement à l'ère de l'hypermondialisation et souligne son appel permanent à une gouvernance économique mondiale inclusive. La deuxième partie est consacrée à l'adaptation au changement climatique. Elle appelle à une approche transformative, avec des programmes d'investissement public à grande échelle pour s'adapter aux menaces actuelles et futures, et à des politiques industrielles vertes pour stimuler la croissance et la création d'emplois. Elle détaille également les réformes du système financier international nécessaires pour que les pays en développement reçoivent davantage de fonds pour l'adaptation au changement climatique.

Ce rapport analyse les tendances économiques actuelles et les principales questions politiques d'intérêt international et formule des suggestions pour résoudre ces problèmes. Il prévient que l'économie mondiale est au point mort, avec un ralentissement de la croissance dans la plupart des régions. L’économie mondiale se trouve à la croisée des chemins, où des trajectoires de croissance divergentes, des inégalités croissantes, une concentration croissante des marchés et un fardeau de la dette croissant assombrissent l’avenir. La perspective d’atteindre les objectifs de développement durable d’ici 2030 s’estompe alors que la combinaison de la hausse des taux d’intérêt, de l’affaiblissement des monnaies et du ralentissement de la croissance des exportations réduit l’espace budgétaire nécessaire aux gouvernements pour lutter contre le changement climatique et subvenir à leur population. Le rapport appelle à un changement d’orientation politique – y compris de la part des banques centrales – et aux réformes institutionnelles d’accompagnement promises pendant la crise du COVID-19. Il appelle à des réformes financières mondiales, à des politiques pragmatiques pour lutter contre l’inflation, les inégalités et le surendettement souverain, ainsi qu’à une surveillance plus stricte des principaux marchés.

Le Rapport sur le développement durable en Afrique (RDDA) pour l’année 2022 intervient à mi-parcours de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable à l’égard duquel les dirigeants du monde, y compris les dirigeants africains, ont pris des engagements en 2015, afin de mettre fin à l’extrême pauvreté, aux inégalités et au changement climatique d’ici 2030. En outre, le plan décennal de mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, intitulé « l’Afrique que nous voulons », qui a été lancé en 2013, s’achève en 2023. Ce rapport est également primordial dans la mesure où il couvre la période où la pandémie de la COVID-19 et la crise russo-ukrainienne sont apparues, avec des répercussions importantes sur la mise en œuvre de ces deux programmes. Le rapport fait suite au Forum politique de haut niveau (FPHN) de 2022, qui a examiné les ODD 4, 5, 14, 15 et 17, sur le thème « Reconstruire en mieux après la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19), tout en avançant sur la voie d’une mise en œuvre intégrale du Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Il examine l’impact de la pandémie de la COVID-19 et de la crise russo-ukrainienne sur la réalisation des ODD et des objectifs connexes de l’Agenda 2063. Il évalue les performances de tous les pays africains à l’aide des données les plus récentes et met en exergue les domaines critiques qui nécessitent des interventions politiques urgentes. Le rapport fournit également un point de référence permettant d’évaluer l’ampleur de l’impact des deux chocs sur la réalisation des ODD. Les principaux résultats et messages, les recommandations stratégiques spécifiques ainsi que les problèmes connexes liés aux données qui ont été pris en compte sont résumés ci-dessous.

Aujourd’hui, l’action collective concernant les défis allant de l’atténuation du changement climatique à la paix et à la sécurité est désespérément lente, voire bloquée. Le manque de confiance et la polarisation – tous deux associés à l’insécurité – aggravent l’impasse. Les défis mondiaux communs et interdépendants, comme la pandémie et sa reprise, dépassent notre volonté et la capacité de nos institutions à y répondre. Pourquoi, malgré toutes nos richesses et nos technologies, sommes-nous si bloqués ? Comment pouvons-nous nous en sortir ? Est-il possible de mobiliser l’action pour relever les défis communs à l’échelle mondiale dans un monde intensément polarisé ? Le présent rapport explore ces questions et offre une plateforme de discussion stratégique sur la manière de dépasser la pensée étroite à somme nulle et de soutenir la coopération en dépit des intérêts et points de vue divergents.

Le rapport examine les nouvelles technologies et les tendances de fabrication que les pays africains doivent adopter pour permettre une production locale viable, des marchés intérieurs attractifs pour les entreprises étrangères (y compris la délocalisation de la production sur le continent) et des pratiques innovantes en matière de chaîne d'approvisionnement. Le rapport recommande les principales options politiques, les meilleures pratiques et les orientations stratégiques nécessaires pour aider les décideurs et les décideurs politiques africains à tirer parti du potentiel des marchés et des entreprises nationaux et régionaux africains pour favoriser les chaînes d'approvisionnement nationales et créer un marché de fournisseurs fiable et fiable pour l'approvisionnement mondial. et contribuer ainsi à accroître la contribution de l'Afrique au commerce et à la croissance mondiaux.

Le rapport 2020 sur les objectifs de développement durable présente le chemin parcouru vers la réalisation des 17 objectifs de développement durable (ODD). Cette cinquième édition du rapport annuel contient un examen des 17 objectifs. Il utilise les dernières données disponibles et les contributions des organismes gardiens du système des Nations Unies et d'autres organismes internationaux et est établi par la Division de statistique du Département des affaires économiques et sociales.

Le rapport 2022 sur les objectifs de développement durable présente le chemin parcouru vers la réalisation des 17 objectifs de développement durable (ODD). Cette septième édition du rapport annuel contient un examen des objectifs. Il utilise les dernières données disponibles et les contributions des organismes gardiens du système des Nations Unies et d'autres organismes internationaux et est établi par la Division de statistique du Département des affaires économiques et sociales.

La reclassification est le processus par lequel les pays les moins avancés (PMA) cessent d’être membres de la catégorie des PMA, en reconnaissance de leurs avancées en matière de développement. En principe, elle marque un passage d’une situation de dépendance à un plus grand degré d’autosuffisance et une sortie des pièges du développement qui assaillent les PMA. Cependant, la perte d’accès aux mesures internationales de soutien (MIS) liées au statut de PMA lors de la reclassification peut entraîner des coûts économiques importants, dont une perte estimée de 3 à 4 % des recettes d’exportation dans le cas des préférences commerciales. Au cours des 45 années écoulées depuis la création de la catégorie des PMA, seuls quatre pays ont quitté la catégorie des PMA ; et les projections du Rapport indiquent que l’objectif de la moitié des PMA reclassés d’ici 2020 a peu de chances d’être atteint. Cela reflète en partie l’insuffisance des MIS existantes. Les projections suggèrent également une modification fondamentale de la composition du groupe, qui, d’ici 2025, sera presque entièrement composé de pays africains et ne comprendra qu’une seule petite économie insulaire. Le rapport soutient que l’obtention du diplôme doit être considérée comme faisant partie d’un processus de développement plus long et plus large, et souligne la nécessité d’une « obtention du diplôme avec élan » – une approche qui va au-delà du respect des critères statistiques d’obtention du diplôme pour jeter les bases du développement futur.

Les pays les moins avancés (PMA) sont parmi les pays du monde les plus dépendants de l’aide étrangère pour le financement de leur développement. Ceci est une caractéristique traditionnelle de leur trajectoire de développement, mais elle est devenue un souci encore plus difficile ces dernières années, pour deux raisons. D’une part, les objectifs de développement durable imposent des besoins d’investissement et des dépenses (en particulier pour la transformation structurelle) beaucoup plus importants, et les PMA doivent mobiliser et gérer le financement nécessaire. Deuxièmement, l’architecture de l’aide internationale a été transformée par l’émergence d’un large éventail d’instruments et d’acteurs, notamment des initiateurs de coopération Sud-Sud, le secteur privé, des organisations philanthropiques et des organisations non gouvernementales. Ce paysage complexe et changeant présente de nouveaux défis pour les capacités restreintes d’élaboration de politiques des États des PMA dans leur quête de transformation structurelle. Les PMA et leurs partenaires de développement doivent convenir d’un nouveau programme d’action sur l’efficacité de l’aide et transformer les termes de leur partenariat de développement.

Ce rapport dresse le bilan de 50 ans d'expérience en matière de développement depuis la création de la catégorie des PMA en 1971. Il constate que pour la plupart des PMA, la croissance a été irrégulière et qu'ils n'ont pas été en mesure de combler l'écart de revenu avec les autres pays en développement. Cela s'explique en grande partie par le fait que les politiques nationales et internationales n'ont pas été efficaces pour surmonter les obstacles structurels à la transformation structurelle des PMA, à savoir le faible niveau des capacités productives, l'orientation excessive vers les exportations, le manque de marge de manœuvre des politiques, la faible capacité de l'État, le retard technologique, l’investissement insuffisant dans la formation de capital humain. Pour la décennie à venir, le rapport propose une refonte des politiques et stratégies de développement en faveur d'initiatives centrées sur le développement des capacités productives et dirigées par un État développementiste, qui aligne avec succès les actions des agents vis-à-vis des PMA avec les objectifs et priorités de développement nationaux.

En 2023, le PIB collectif des PMA était inférieur de 10 pour cent au niveau qu’il aurait atteint si la tendance de croissance d’avant la pandémie (2010-2019) s’était maintenue. En conséquence, au moins 15 millions de personnes supplémentaires dans les PMA vivent désormais dans une pauvreté extrême, leur gouvernement étant gravement limité dans sa capacité à maintenir des investissements adéquats dans les services publics ou à investir dans la promotion du développement. Le rapport souligne la nécessité urgente d'une action concertée pour restaurer la marge de manœuvre budgétaire des PMA par le biais d’une résolution durable de la crise de la dette, de la réforme de l'architecture financière internationale et de la mobilisation du financement climatique pour permettre les investissements nécessaires à une transition vers une économie à bas carbone et une transformation structurelle verte. Sans cela, les ODD et le développement durable ne pourront pas être réalisés. En conséquence, le rapport avance plusieurs recommandations visant à faire avancer la réforme du financement mondial du développement, qui dans son état actuel, est déficient en termes de quantité, qualité, structure, coût et facilité d'accès. Le rapport contient également une analyse détaillée du rôle possible des banques centrales dans la canalisation du financement du développement durable et de la transformation structurelle verte des PMA. Si la contribution des banques centrales à la lutte contre le changement climatique a été discutée dans les pays développés, c'est la première fois que ce type d'analyse est réalisé concernant les PMA.

La dépendance aux produits de base est un piège: une fois qu'un pays dépend des produits de base, il est difficile de développer un secteur productif en dehors du secteur des produits de base et d'exporter des produits non liés à ce secteur. Sur la base d'une analyse empirique, ce rapport soutient que, à moins d'une action forte au plus haut niveau politique dans les pays en développement tributaires des produits de base (CDDC), ils resteront pris dans ce piège pendant des siècles. La technologie et l'innovation pourraient aider les pays en développement tributaires des produits de base à diversifier leurs économies et à devenir moins dépendants du secteur des produits de base. Cela pourrait renforcer la croissance de la productivité, qui a été ralentie dans ces pays. La technologie et l'innovation pourraient ouvrir la voie à une transformation économique et structurelle dans ce groupe de pays. Une analyse minutieuse de l'espace produit montre certains produits autres que les produits de base que les pays tributaires des produits de base pourraient effectivement commencer à produire, de manière compétitive, contribuant ainsi à diversifier leur panier d'exportation. L'analyse montre qu'il existe des technologies disponibles des troisième et quatrième révolutions industrielles, ainsi que la numérisation, qui pourraient aider ces pays à sortir du piège du secteur des produits de base. Produire des biens plus avancés sur le plan technologique impliquerait l'accès et l'adoption de nouvelles technologies, ainsi que l'adoption de l'innovation. Pour permettre à ce groupe de pays d'échapper au piège de la dépendance aux produits de base, il faut une coopération plus étroite entre eux et leurs partenaires commerciaux ainsi que leurs partenaires au développement en termes d'acquisition technologique et de domestication. Par conséquent, un cadre propice à l'accessibilité de la technologie et à son transfert est nécessaire au niveau international.

Bien que représentant moins de 1% de la surface océanique mondiale, la Méditerranée abrite jusqu’à 18% des espèces marines de la planète. Le déclin de Posidonia Oceanica (une espèce endémique d’herbiers marins connue sous le nom de «poumon de la Méditerranée»), la surpêche, les espèces non indigènes, font partie des symptômes de la dégradation de l’environnement. Les écosystèmes marins et côtiers sont sous la pression de la poursuite non durable de la croissance économique. Cette pression est illustrée par les déchets marins et la pollution est aggravée par le changement climatique. Ce rapport évalue l’état de l’environnement et du développement dans la région et comprend un ensemble de messages clés qui peuvent éclairer une réponse politique adéquate.

Ce rapport examine le rôle des financements innovants pour le développement du secteur des entreprises comme moyen de financer et de réaliser le développement durable de l’Afrique et l’Agenda 2063. Il explique comment les sources de financement innovantes peuvent être utilisées pour financer le développement du secteur des entreprises en Afrique, en tenant compte des innovations dans le secteur des services financiers et des technologies financières, qui constituent l’un des principaux mécanismes de transition des pays africains vers une croissance économique inclusive et un développement durable. Le rapport fournit des orientations stratégiques aux décideurs du secteur des affaires et aux responsables politiques en Afrique sur les réglementations et les mesures essentielles à déployer pour la création et l’utilisation de mécanismes de financement innovants par le secteur privé afin de susciter une augmentation des investissements et du financement en faveur des objectifs de développement durable et des infrastructures, une productivité accrue, la création d’emplois et la prospérité.

Le Rapport économique sur l’Afrique 2023 a pour thème « Renforcer la résilience de l’Afrique face aux chocs économiques mondiaux ». Il est consacré à l’impact des chocs mondiaux, multiples et récurrents, sur les économies africaines. Y sont examinés la façon dont ces chocs entravent les perspectives de l’Afrique d’atteindre les cibles définies dans les objectifs de développement durable, ainsi que les moyens de réaliser une transformation économique inclusive et de renforcer la résilience.

L’acqua è vitale per assicurare la prosperità in quanto soddisfa i bisogni umani fondamentali, garantisce la salute, i mezzi di sussistenza e lo sviluppo economico, favorisce la sicurezza alimentare ed energetica e protegge l’integrità ambientale. L’acqua influenza l’economia in molti modi, così come le dinamiche commerciali e gli adattamenti del mercato a livello globale possono avere ripercussioni dirette sull’uso dell’acqua nelle economie a livello regionale e locale. Gli impatti legati all’acqua causati dai conflitti sono molteplici e spesso indiretti, come quelli relativi alle migrazioni forzate e alla maggiore esposizione a minacce per la salute. Cambiamenti climatici, disordini geopolitici, pandemie, migrazioni di massa, iperinflazione e altre crisi possono aggravare le disuguaglianze nell’accesso all’acqua. In quasi tutti i casi, i gruppi più poveri e vulnerabili sono quelli che corrono i maggiori rischi per il loro benessere. L’edizione 2024 del Rapporto mondiale delle Nazioni Unite sullo sviluppo delle risorse idriche richiama l’attenzione sulle complesse relazioni di interdipendenza tra acqua, prosperità e pace, descrivendo come i progressi conseguiti in un determinato ambito possano avere ripercussioni positive, spesso essenziali, anche su altri.

This ground-breaking report brings together, for the first time, multiple data sources to provide a global overview of school health and nutrition policies and programmes, showing that these are a practical and affordable way to support learners’ well-being and development. For example, more than 100 countries have school vaccination programmes, one in two primary schoolchildren receives school meals, and almost every country includes education for health and well-being in its curriculum. Yet, many children are missing out, especially in the poorest countries. As the world is facing a global food crisis and struggling with the devastating effects of the COVID-19 pandemic, this report urges governments and development partners to put learners’ health and well-being at the core of the education agenda and to improve the quality and reach of these programmes, so that all children and adolescents can learn and thrive. This requires implementing comprehensive programmes that are coordinated across sectors and sustained by increased policy and financial commitments.

The publication describes pathways to achieve more inclusive and sustainable post-pandemic recovery in Asia and the Pacific. It identifies elements for a common agenda for present and future generations centered on protecting people and planet, leveraging on digital opportunities, trading and investing more together, raising financial resources and managing debt. It underlines the need to listen and work with the youth, placing women at the center for crisis-prepared policy action and new people-centric partnerships, with a readiness of the Economic and Social Commission for Asia and the Pacific (ESCAP) to serve.

En el contexto de la pandemia global del COVID-19, la CEPAL está elaborando una serie de publicaciones breves con recomendaciones de políticas relevantes para este período. En la presente nota se plantean una serie de recomendaciones para la recopilación de información relacionada con el mercado laboral mediante encuestas de hogares, dedicando especial atención a los diseños muestrales requeridos para este fin.

Las presentes Recomendaciones se han elaborado teniendo en cuenta los progresos registrados en el campo de la técnica, la aparición de nuevas sustancias y materiales, las exigencias de los modernos sistemas de transporte y, sobre todo, la necesidad de velar por la seguridad de las personas, los bienes y el medio ambiente. Van dirigidas a los gobiernos y a las organizaciones internacionales que se ocupan de la reglamentación del transporte de mercancías peligrosas. La Reglamentación Modelo trata de la clasificación de las mercancías peligrosas, de su enumeración, de la utilización, de la construcción, ensayo y aprobación de embalajes/envases y cisternas portátiles, así como de los procedimientos de expedición tales como el marcado, el etiquetado, la rotulación y la documentación de transporte. En la presente decimosexta edición revisada se han incluido nuevas disposiciones.

El Reglamento Modelo cubre la clasificación de mercancías peligrosas y su listado, el uso, construcción, prueba y aprobación de embalajes y tanques portátiles, y los procedimientos de envío (marcado, etiquetado, rotulación y documentación). Su objetivo es garantizar un alto nivel de seguridad al evitar accidentes a personas y bienes y daños al medio ambiente durante el transporte y, al mismo tiempo, proporcionar un marco normativo uniforme que pueda aplicarse en todo el mundo para el transporte nacional o internacional por cualquier medio.

La présente Recommandation fournit des orientations sur la manière d’établir un arrangement réglementaire commun (ARC), c’est-à-dire un mécanisme que les pays peuvent adopter à titre volontaire pour faciliter l’harmonisation des réglementations relatives aux produits et éviter de répéter certains contrôles de conformité. La présente recommandation a été approuvée pour la première fois en 2001 et révisée en 2015. La révision actuelle clarifie le modèle international, conçu pour soutenir la conformité des produits ainsi que des services, et fournit des orientations supplémentaires concernant l’inclusion des services dans son champ d’application. L’annexe, qui contient le modèle d’Accord Commun de Réglementation (ACR), a été simplifiée par la suppression de la section distincte sur les normes internationales – ces références sont désormais intégrées directement dans les parties pertinentes du texte.

La présente recommandation a pour objectif d’établir un mécanisme qui permette aux gouvernements, aux partenaires du secteur, aux consommateurs et à toutes les autres parties intéressées de prendre des décisions en ayant connaissance des risques, de corriger l’asymétrie de l’information, de dialoguer, de définir les responsabilités quant aux allégations de contribution au développement durable (notamment en ce qui concerne le respect de la réglementation) et d’adapter les modèles commerciaux à une conduite responsable des affaires. Elle présente aux acteurs économiques un ensemble de pratiques convenues au niveau international pour la collecte et la transmission concertées de données relatives au suivi et au traçage des matériaux, produits et processus d’un bout à l’autre d’une chaîne de valeur (y compris l’ensemble des installations et intermédiaires concernés) et contient des informations connexes sur l’action des participants en matière de durabilité. Les pratiques en question ont été élaborées tout particulièrement à l’intention du secteur de l’habillement et de la chaussure pour promouvoir la traçabilité et la transparence, mais elles ont des applications dans des chaînes de valeur intersectorielles, contribuant ainsi à la réalisation de plusieurs objectifs du Programme 2030 des Nations Unies, notamment l’objectif de développement durable 12 relatif à la consommation et à la production responsables.