Partnerships for the Goals
All eyes on $1 trillion
Denting youth unemployment through agriculture
Scoring a goal
Last autumn in Dubai, the Parties to the Montreal Protocol, representing every country in the world, agreed to work to amend the treaty in 2016 to phase down the highly potent greenhouse gases called HFCs. With negotiations having started in Geneva in April and expected to be completed later this year, the nations of the world are now on the verge of scoring a major goal for the climate system and for sustainable development worldwide.
A new era
People are used to celebrating the start of a new year with resolutions for change; with goals for improvement, welfare and progress; with optimism and a constructive and proactive spirit. We do so from our past experiences – evaluating achievements, learning from failures and overcoming frustrations. We assume the present from the achievements and lessons learned, and aim for a better future.
The opportunity of the commons
We know about the “tragedy of the commons”. But how about the opportunity they present? The crisis facing the ultimate global commons – the very conditions that make human civilization and economic prosperity possible – confronts us with the necessity of making our societies and economies more sustainable and less inequitable
Coming to grips with water security in the face of climate change
In a landmark study published a decade ago, the International Water Management Institute (IWMI) suggested that under likely scenarios the world’s freshwater supplies should be adequate to meet future demands from agriculture, industry and other sectors. A lot has happened since then that makes it difficult today to frame this essentially accurate conclusion in such optimistic terms. It is clear now that, without significant improvement in water management, we can no longer assure sustainable development in the face of climate change and related pressures.
The role of UN-Water as an Inter-Agency coordination mechanism for water and sanitation
Today, 2.1 billion people lack access to safely managed water services, and 4.5 billion live without safely managed sanitation services. This crisis costs the lives of around 340,000 children every year, with other impacts deeply affecting entire societies and economies. By 2050, the world’s population will have grown by around 2 billion people and demand for water will increase up to 30 per cent. Water is finite, so we must ask: how are we going to balance all of the competing demands on water resources while meeting our obligations to fulfil every person’s human right to water and sanitation?
La Réalisation de l’ODD 14 :le rôle de la Convention des Nations Unies sur ledroit de la mer
Les océans, les mers et les zones côtières sont un élément intégré et fondamental de l’écosystème de la planète et sont essentiels au développement durable. Ils recouvrent plus des deux tiers de la surface de la Terre et représentent 97 % de l’eau de la planète. Les océans contribuent à l’éradication de la pauvreté en offrant l’accès à des moyens de subsistance durables et à des emplois décents. Plus de 3 milliards de personnes dépendent des ressources marines et côtières pour vivre. De plus, ils jouent un rôle essentiel pour assurer la sécurité alimentaire mondiale, la santé humaine et le bien-être. Ils sont aussi le principal régulateur du climat mondial, constituent un puits important de gaz à effet de serre, sont de gigantesques réservoirs de biodiversité et jouent un rôle majeur dans la production de l’oxygène que nous respirons.
Créons nos villes : Visions de l’avenir
L’énergie durable pour tous : Vers Rio +20
L’énergie est à la base du développement humain. De la création d’emplois à la compétitivité économique, en passant par le renforcement de la sécurité et l’autonomisation des femmes, l’énergie constitue le grand intégrateur. Elle concerne tous les secteurs et est au coeur des intérêts fondamentaux de tous les pays. Aujourd’hui plus que jamais, le monde doit veiller à ce que les bienfaits de l’énergie moderne soient accessibles à tous et que l’énergie soit produite aussi proprement et aussi rationnellement que possible. Il s’agit là avant tout d’une question d’éthique, mais également d’un problème urgent et d’importance pratique. C’est dans ce contexte que l’initiative sur l’énergie durable pour tous a été lancée le 7 novembre 2011 par le Secrétaire général Ban Ki-moon.
L’Autorité Internationale des fonds Marinset l’exploitation minière des grands fonds marins
L’océan profond situé au-dessous de 200 mètres est le plus vaste habitat disponible pour le monde vivant et le plus difficile d’accès. Le plancher océanique, comme l’environnement terrestre, est composé de chaînes montagneuses, de plateaux, de pics volcaniques, de canyons et de vastes plaines abyssales. Il contient la plupart des mêmes minéraux que ceux que l’on trouve sur terre, souvent sous des formes enrichies, ainsi que des minéraux qui sont uniques, comme les encroûtements ferromanganésifères et les nodules polymétalliques.
À la recherche d’un avenir durable pour les océans
Dans de nombreux aspects de la vie, l’humanité doit beaucoup aux océans. En effet, ils jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement des écosystèmes et la régulation du climat et fournissent un soutien culturel important aux millions de personnes qui vivent près de la mer.
Inondations et changements climatiques : Le développement durable et autres idées
Submergés comme nous le sommes par les inquiétudes liées aux changements climatiques, le déluge du livre de la Genèse offre une métaphore déterminante. Dans ce récit mythologique, la nature vengeresse donne lieu à une catastrophe. L’Arche est une technologie qui peut limiter les dégâts et finalement sauver des vies, alors que Noé, le patriarche, représente la politique presciente. Pour tous ces éléments convaincants, l’histoire du déluge, toutefois, se trompe sur un point – l’idée que l’inondation induit toujours une immense catastrophe.
Relever le défi de l’urbanisation durable
Au cours des deux dernières décennies, les changements démographiques et économiques ont contribué à faire des villes et des centres urbains l’habitat dominant de l’humanité. Ce sont dans les villes que les améliorations rapides des conditions socio-économiques et environnementales sont possibles, mais aussi là où ces changements sont les plus nécessaires. Les villes des pays émergents sont de plus en plus les moteurs de la prospéritté mondiale alors que les ressources de la planète s’épuisent rapidement. Il est donc plus essentiel que jamais que les États Membres et les organismes des Nations Unies s’engagent à atteindre l’objectif d’une urbanisation durable comme levier essentiel du développement.
Pouvons-nous sauverles récifs coralliens ?
D’après un rapport des Nations Unies, 70 % des récifs coralliens dans le monde sont menacés: 20 % ont déjà été détruits sans espoir d’amélioration, 24 % risquent de disparaître et 26 % supplémentaires sont menacés à long terme. Alors que 40 % (3,1 milliards) de la population mondiale vit à 100 km d’un océan, l’effondrement des écosystèmes côtiers est particulièrement problématique. Les pertes importantes des écosystèmes des récifs coralliens sont donc aussi un problème économique et social. Les structures récifales protègent les communautés côtières des vagues lors des tempêtes, se transforment en sable qui se dépose sur les plages et sont une source importante de revenus pour le commerce de loisirs local. Les récifs coralliens sont aussi le vivier de médicaments du XXIe siècle. Des myriades d’organismes, y compris des éponges, des coraux et des lièvres de mer, contiennent des molécules ayant des propriétés anti-inflammatoires, antivirales, antitumorales et antibactériennes. De nouveaux traitements de la maladie d’Alzheimer, des maladies cardiaques et virales ainsi que de certaines inflammations sont développés à partir de ces molécules. L’effondrement des récifs coralliens a des répercussions importantes sur les océans, la population humaine et, d’ailleurs, sur la planète. Pour l’avenir, nous devons trouver les moyens de conserver ce qui reste, idéalement prendre des mesures audacieuses, décisives pour inverser la trajectoire tragique. Les solutions exigeront des innovations et des partenariats susceptibles de promouvoir les changements sociétaux nécessaires pour mettre un terme aux dégâts causés aux récifs coralliens et inverser la tendance.
L’océan Arctique et la glace de mer sont notre Nuna
L’Arctique est notre Nunaat – notre patrie. Nuna signifie la terre natale. Nous, Inuits, sommes étroitement liés au passé, à la fois distant et plus récent. Pourquoi sommes-nous si étroitement liés à l’écosystème marin de l’Arctique ? Il a façonné notre identité de populations autochtones de l’Arctique et nous en dépendons pour notre sécurité alimentaire, nos besoins en transports et notre mobilité – pour notre avenir.
Le rôle de l’Organisation Maritime Internationaledans la prévention de la pollution des océans parles navires et le transport maritime
Les océans sont essentiels pour le transport maritime : ils assurent plus de 80 % du commerce mondial, le transport des passagers à bord des ferries et celui de millions de touristes à bord des navires de croisières. Chaque année, plus de 50 000 navires de mer transportent plus de 10 milliards de tonnes de marchandises vitales, y compris des produits de base, du fioul, des matières premières et des biens de consommation.
Gérer les risques de phénomènes extrêmes et de catastrophes
Dans le Quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), qui a été terminé en 2007, il est dit que « le réchauffement du système climatique est sans équivoque. On note déjà, à l’échelle du globe, une hausse des températures moyennes de l’atmosphère et de l’océan, une fonte massive de la neige et de la glace et une élévation du niveau moyen de la mer ».
Les changements climatiques, une menace pour l’océan
En 2016, la première Évaluation mondiale intégrée du milieu marin, connue également comme première Évaluation mondiale des océans, a été publiée. L’introduction du rapport est très instructive. Elle indique que 70 % de la surface de la planète est couverte d’eau et que la profondeur moyenne des océans est de 4 000 m. Ceux-ci contiennent 97 % de la totalité de l’eau sur Terre, soit l’équivalent d’environ 1,3 milliard de km3. Ce chiffre est impressionnant.
Maintenir des pêches océaniques saines pour soutenirles moyens de subsistance: Réaliser l’ODD 14 en Europe
Les problèmes des espaces marins sont étroitement liés entre eux et doivent être envisagés dans leur ensemble », stipule le préambule de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et jamais ces mots n’auront été plus à même de décrire les défis auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés.
La Biodiversité marine et les écosystèmes marinsassurent la santé de la planète et le bien-être social
Rien n’est aussi important pour le développement durable que la biodiversité des océans. La biodiversité marine, la diversité de la vie dans les océans et les mers, est un aspect essentiel des trois piliers du développement durable – économique, social et environnemental. Elle est indispensable au bon fonctionnement de la planète et fournit des services qui assurent la santé, le bien-être et la prospérité de l’humanité.
La Conférence sur les océans : Un potentiel de transformation
Les océans ont besoin d’être secourus. Si le cycle du déclin, dans lequel ils sont pris, continue, les effets néfastes sur les habitats abritant des formes de vie dans les océans, au-dessus d’eux et près d’eux pourraient être irréversibles.
Assurer et maintenir des pêches durables
L’Afrique doit développer sa politique alimentaire
Utiliser l’énergie des étoiles sur Terre
La communauté internationale est menacée par une crise énergétique mondiale, par des modifications du climat et des écosystèmes causées par le réchauffement de la planète, ainsi que par la contamination de l’eau et de la nourriture. Le monde entier est confronté aux immenses défis de combler le fossé entre la demande énergétique prévue et un approvisionnement énergique durable, sans carbone, à un prix abordable. Aujourd’hui, environ 80 % de la demande mondiale totale d’énergie primaire est satisfaite par l’utilisation de combustibles fossiles qui émettent des quantités importantes de dioxyde de carbone (un gaz à effet de serre) dans l’atmosphère. Un approvisionnement énergétique provenant de sources sûres, écologiquement et commercialement fiables, est nécessaire pour satisfaire la demande mondiale en énergie.
À Rio +20, les pays vulnérables devraient être au cœur des débats
A Alors que l’attention mondiale est tournée vers la Conférence des Nations Unies sur le développement durable, ou Rio +20, qui aura lieu en juin 2012, cette Conférence nous rappelle les multiples crises qui continuent à miner la planète. Ces crises sont d’autant plus évidentes dans les nations aux ressources limitées qui sont confrontées à de nombreux problèmes liés à la pauvreté et au sous-développement.
L’Afrique face au changement climatique
Une mer d’îles: Comment un groupe régional d’Étatsdu Pacifique oeuvre à la réalisation de l’ODD 14
La santé de nos océans est fondamentale pour la santé de notre planète. Quatre-vingt-dix-huit pour cent de la zone occupée par les pays et les territoires insulaires du Pacifique sont des océans. De par notre situation géographie, nous nous percevons parfois comme les « États chargés d’assurer la bonne gestion des grands océans ». L’océan Pacifique est au coeur de notre culture et nous en dépendons pour notre nourriture, nos revenus, nos emplois, nos transports et notre développement économique.
La société civile et Rio +20
Les vingt années qui ont suivi la première Conférence de Rio qui s’est tenue en 1992 n’ont pas suscité de grands espoirs. On continue comme si de rien n’était, les objectifs liés à l’environnement et la mise en oeuvre d’Action 21 progressent trop lentement, les instabilités économiques dominent les débats politiques et les négociations sur les changements climatiques sont continuellement sur le point d’échouer. Nous n’avons, toutefois, pas abandonné le navire.
Sierra Leone : remettre l’agriculture sur pied
La Gouvernance marine mondiale et la gestiondes océans pour atteindre l’ODD 14
Au cours des années, les activités humaines menées dans les océans et à proximité ont augmenté de manière exponentielle, entraînant de graves conséquences pour l’état de notre environnement marin. Les scientifiques constatent que les changements sont plus importants et plus rapides et que la santé des océans se dégrade plus rapidement que prévu. Aujourd’hui, le défiest celui que pose le changement climatique et il n’existe aucune zone des océans qui ne soit pas affectée par l’influence humaine. Certaines zones, particulièrement celles situées près des grands centres de population, subissent de multiples pressions. Les menaces auxquelles font face les océans sont nombreuses. Elles comprennent les pratiques de pêche non durables et destructrices; la pêche illicite et non déclarée; la pollution d’origine terrestre et celle liée à l’activité des navires; la destruction des habitats; l’introduction d’espèces envahissantes; le bruit en milieu marin; les collisions entre les cétacés et les navires; l’exploitation minière; et l’extraction du pétrole et du gaz. Ces effets néfastes s’ajoutent à d’autres problèmes, comme l’acidification et le réchauffement des océans, la modification des courants océaniques, le mélange réduit des eaux océaniques et une désoxygénation accrue. Alors que les écosystèmes marins et les espèces marines pourraient résister à un type d’effet ou à l’intensité d’un effet, ils sont beaucoup plus fragilisés lorsque ces effets sont cumulés.
Pourquoi la gestion de l’eau commence au niveau local
L’eau est omniprésente : elle est essentielle à toutes les formes de vie et à la plupart des activités économiques. Les Nations Unies ont déclaré que l’eau salubre et potable et l’assainissement qui, avec d’autres activités domestiques représentent environ 7 à 10 % de la consommation totale de l’eau, étaient un droit humain. Nous avons besoin d’eau pour les transports, les activités municipales et industrielles (environ 10 à 30 %), l’agriculture (plus de 70 %) et les loisirs ainsi que pour d’autres activités.
Malgré la croissance économique la faim persiste
Objectifs et vision de la Conférence Rio +20
La Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement qui s’est tenue à Rio de Janeiro en juin 1992, appelée aussi Sommet de la Terre, a été un événement historique. Elle a adopté la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement, connue sous le nom des Principes de Rio, ainsi qu’Action 21, un programme d’action pour le développement durable dans le monde, et a donné lieu à des instruments juridiquement contraignants sur les changements climatiques et la biodiversité. Un grand nombre d’autres accords importants et de plans d’action ont vu le jour dans le cadre du suivi de Rio, y compris ceux concernant la lutte contre la sécheresse et à la désertification et la promotion du développement durable des petits États insulaires en développement. Le Sommet a fait naître de grands espoirs pour l’avenir.
L’agronomie au féminin
Les écosystèmes dans le cycle de l’eau à l’échelle planétaire
On dit souvent que les écosystèmes fournissent des « services » qui peuvent être répertoriés comme suit : i) les services d’approvisionnement de biens de consommation, comme la nourriture et l’eau; ii) les services de régulation comme, entre autres, la purification de l’eau et la prévention de l’érosion ; iii) l’habitat, qui fournit l’environnement pour les cycles de vie des espèces ou qui permet de préserver la diversité génétique grâce à une végétation naturelle abondante et de qualité ou aux substrats pour les poissons et iv) les services culturels comme, par exemple, le plaisir esthétique, le tourisme et l’expérience spirituelle (TEEB, 2010).
Les jeunes et la gestion intégrée des ressources en eau
En septembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 20301 ». Ce nouveau programme préconise l’engagement de l’ensemble de la société et la création d’un partenariat mondial comme principal moteur de la transformation. Il s’agit d’un plan d’action général qui unit les acteurs étatiques et non étatiques afin de donner à tous les grands groupes de la société les mêmes opportunités et le même espace. Si les jeunes sont considérés comme un groupe vulnérable qui nécessite une attention particulière (paragr. 23), ils sont aussi des acteurs importants qui devraient bénéficier d’une éducation et pouvoir réaliser leur plein potentiel (paragr. 25; ODD 4, cibles 4.4 et 4.6). Une attention particulière est accordée à la promotion de l’emploi des jeunes afin d’assurer une croissance inclusive et durable (paragr. 27; ODD 8, cibles 8.6 et 8b) et de développer leurs capacités pour contribuer efficacement à la planification et à la gestion du changement climatique (ODD 13, cible 13.b).
Comment réduire notre empreinte hydrique à un niveau durable ?
Implications of the COVID-19 pandemic for human rights and modern slavery vulnerabilities in global value chains
The COVID-19 pandemic has revealed vulnerabilities and fragilities in global value chains. The worldwide economic lockdowns to contain COVID-19 have led in some industries to unilateral cancellations and suspensions of orders from overseas suppliers by transnational corporations (TNCs). These decisions are argued to be in conflict with the UN Guiding Principles on Business and Human Rights, the Sustainable Development Goals, and related national laws because they have contributed to the risk that the human rights of workers will be violated and that they will become victims of modern slavery. In response, international business policies that target the conduct of TNCs and global value chains need to be reconsidered to achieve global value chain integration while strengthening local bargaining, affording sustainable growth, and protecting human rights.
Nourrir la planète de manière durable
Le Sommet de la Terre qui s’est tenu à Rio en 1992 a été un événement historique qui s’est conclu par des accords visant à guider le développement durable dans le monde. Selon le premier principe de la Déclaration de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement, « les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Ils ont droit à une vie saine et productive en harmonie avec la nature ». Vingt ans après, nous n’avons toujours pas atteint cet objectif fondamental, trop de personnes n’ont toujours pas une vie saine et productive en harmonie avec la nature.
Faire participer les oubliées : Les femmes et le développement durable mondial
L’idée de proclamer chaque année une journée reconnaissant la situation des veuves dans le monde s’est concrétisée avec l’Assemblée générale des Nations Unies déclarant le 23 juin Journée internationale des veuves. Dans un message adressé l’année dernière, le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a souligné que « cette Journée internationale des veuves offre l’occasion d’attirer l’attention sur les nombreuses difficultés que connaissent les femmes lorsque leur mari meurt. Plongées dans le chagrin, les veuves se retrouvent parfois sans filet de protection sociale pour la première fois depuis leur mariage. Trop souvent, elles sont privées du droit d’hériter, de droits fonciers, de l’accès à l’emploi et même des moyens d’assurer leur survie. Dans les régions où le statut social d’une femme dépend de celui de son mari, les veuves peuvent, du jour au lendemain, être frappées d’ostracisme et d’isolement. Qu’il soit désiré ou non, le mariage peut alors être pour une veuve le seul moyen de retrouver une place dans la société. Il y a environ 245 millions de veuves dans le monde, dont plus de 115 millions vivent dans une extrême pauvreté.
Faire participer les jeunes à la préservation desenvironnements côtiers et marins
Au moment où je rédige cet article, mon pays, le Pérou, fait face à l’une des catastrophes naturelles les plus graves de tous les temps. En raison d’un phénomène appelé localement le courant côtier El Niño, les courants océaniques chauds et intenses ont entraîné de fortes pluies dans certaines parties du pays, ce qui a provoqué des inondations et des glissements de terrain qui ont eu de graves répercussions sur la vie de millions de personnes.
Renforcer la base des connaissances scientifiques pour aider les pays à mieux gérer leurs ressources en eau
L’eau douce est une ressource essentielle à la santé humaine, à la prospérité et à la sécurité. Elle est aussi essentielle à l’éradication de la pauvreté, à l’égalité des sexes, à la sécurité alimentaire et à la préservation des écosystèmes. Pourtant, les ressources hydriques sont soumises à des pressions de plus en plus fortes dues à des facteurs comme la croissance démographique, la variabilité du climat et le changement climatique. Alors qu’elle est limitée, l’eau est de plus en plus sollicitée par une population croissante et des usages de plus en plus nombreux.
Une conférence pour sauver nos océans
Du 5 au 9 juin 2017, les Nations Unies convoqueront une réunion importante pour promouvoir la durabilité des océans. La Conférence des Nations Unies visant à appuyer la réalisation de l’objectif de développement durable 14: Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable, mieux connue sous le nom de la Conférence sur les océans, sera le premier forum de l’Organisation sur cette question et une étape importante pour améliorer l’état des océans.
Apprendre à connaître et à aimer les océans
Un jour, j’ai été réveillée au milieu de la nuit par un bruit sourd contre la coque de notre bateau. Nous avons couru sur le pont pour constater que nous étions entourés de plastiques flottant sur l’océan. Nous ne comprenions pas. Nous étions à plus de 1 600 km du littoral. Les agents de la Station spatiale internationale placée en orbite au-dessus de nos têtes étaient les personnes les plus proches de nous. Pourtant, nous avons dû nous rendre à l’évidence: Ces déchets, qui nous entouraient dans l’une des parties les plus reculées de la planète, étaient bel et bien causés par l’homme.
Le Portugal et l’économie océanique
Aujourd’hui, nous tentons de mieux comprendre l’anthropocène et d’y vivre. Bien que cette époque ne soit pas encore officiellement reconnue, il est de plus en plus admis que nous sommes dans une sousdivision spéciale de l’échelle des temps géologiques où les activités humaines ont des répercussions sur le climat et les ressources naturelles disponibles.
Vers une ONU durable
La réputation est un atout majeur pour toute ogranization, et c’est aussi le cas pour les Nations Unies. C’est pourquoi il est essentiel que les ogranizations qui composent le système des Nations Unies démontrent clairement qu’elles adhèrent aux mêmes principes qu’elles promeuvent. C’est fondamental pour maintenir à la fois leur réputation et leur intégrité.
Protéger les petits états insulaires endéveloppement de la pollution et des effetsdes changements climatiques
Peu de lieux sont aussi emblématiques du passé et de l’avenir de la communauté internationale que les océans. Depuis les toutes premières migrations humaines, ils ont conduit nos ancêtres vers de nouveaux continents, rapproché les civilisations et ouvert le monde aux explorations et au commerce. Ils nous connectent aussi écologiquement. De nombreuses espèces de poissons circulent dans les eaux territoriales pour se reproduire et se nourrir, rapportent au secteur de la pêche des milliards de dollars et fournissent un moyen de subsistance à un très grand nombre de personnes. Plus important, les océans jouent un rôle déterminant dans la régulation des changements climatiques. En effet, les scientifiques ont démontré que depuis le début de l’ère industrielle, les océans ont souffert des effets dus à l’utilisation excessive des combustibles fossiles et à l’absorption des émissions de dioxyde de carbone ainsi que de la plus grande partie de la chaleur générée par le réchauffement de la planète.
Santé et sécurité alimentaire - Les avantages tirés de l'atténuation des effets des changements climatiques
A fin d’éviter une catastrophe pour la planète, les sociétés doivent trouver un moyen de réduire les émissions de carbone de dioxyde (CO2), le plus grand contributeur au réchauffement climatique étant l’élément prioritaire des négociations menées actuellement sur le climat. Malheureusement, l’une des propriétés qui le rendent problématique – sa longue durée de vie dans l’atmosphère – crée des obstacles majeurs aux initiatives destinées à réduire ses émissions. Premièrement, les effets bénéfiques de la limitation de ses émissions se manifestent seulement après plusieurs décennies, ce qui va au-delà de l’intérêt accordé par la plupart des hommes politiques ou des corporations. Deuxièmement, les pays ne sont pas d’accord sur la part de responsabilité en matière de réduction : faut-il se baser sur les émissions historiques ou sur les niveaux actuels d’émissions?
