Partnerships for the Goals
Médiateurs pour les générations futures
Les politiques nationales et internationales se heurtent aux impératifs à court terme des cycles électoraux et, animées par l’obsession du gain, ne sont pas orientées vers une voie durable. Les chefs de gouvernement passent une si grande partie de leur temps à défendre leur siège d’élu que leurs politiques visent principalement à gagner des électeurs et à les conserver. L’électorat, c’est-à-dire les personnes âgées de plus de 18 ans, ne prend pas en compte une partie importante de la population, à savoir les moins de 18 ans, les générations à venir et les générations décédées. Comme le philosophe Edmund Burke l’a écrit : « [La société est] un partenariat non seulement entre ceux qui sont vivants, mais entre ceux qui sont vivants, ceux qui sont morts et ceux qui sont encore à naître. » La société n’est pas, comme elle l’est devenue, un marchandage politique entre la classe dirigeante et l’opposition qui tente de séduire les nombreux électeurs flottants.
Zimbabwe : ravitailler la nation devient un défi
Le Tourisme doit démontrer son engagementà préserver la vie aquatique
Lorsque nous fermons les yeux et pensons à nos vacances, nous rêvons de nous rendre dans des îles et au bord de la mer, ces lieux étant traditionnellement décrits comme parfaits pour voyager.
Combattre la pauvreté d’un village à l’autre
Il faut apporter une vision de l’avenir à la table des négociations
Lorsque le théoricien américain Buckminster Fuller a dit que « [nous] sommes appelés à être les architectes de l’avenir, non ses victimes », il était loin de se douter combien cette tâche serait difficile dans les années qui ont suivi sa mort.
Nous devons protéger la richesseet la beauté de nos océans
Dans un discours prononcé lors de la Coupe de l’America 1962, le Président John F. Kennedy a déclaré : « Je ne sais pas pourquoi nous sommes tous autant liés à la mer. Je pense qu’au-delà du fait qu’elle change, que la lumière change et que les bateaux changent, c’est parce que nous venons tous de la mer […] Nous sommes liés à l’océan. Et quand nous retournons à la mer, que ce soit pour naviguer ou pour la contempler, nous ne faisons que retourner d’où nous venons. »
L’Agriculture un outil de lutte contre le chômage des jeunes
Protéger la mer de corail — le berceau durécif de la grande barrière
Vulnérables au changement climatique, à la pollution et à la surpêche, les océans font face à des défis de plus en plus importants. Il est donc de plus en plus essentiel de réserver de vastes zones de nos océans pour permettre aux écosystèmes de fonctionner à l’état naturel. De plus en plus de nations préconisent la création d’aires marines protégées et de réserves pour donner aux régions de notre planète bleue une chance de relever le défi.
Sauver une baleine, sauver une planète
En 1997, la découverte d’un baleineau femelle échoué à Marina del Rey, près de Los Angeles, a suscité une vive émotion. Il avait été séparé de sa mère pendant la migration annuelle de l’Alaska vers le Mexique. Des centaines de volontaires ont réquisitionné des bateaux, des camionnettes et des civières de fortune pour le déplacer sur 160 km jusqu’à San Diego dans un effort désespéré pour lui sauver la vie.
Égalité des sexes et développement durable
Appuyée par un large éventail de parties prenantes allant de la société civile et du grand groupe de femmes aux gouvernements et aux ogranizations des Nations Unies, la Conférence qui aura lieu en juin inclura plusieurs fois dans le document final l’égalité des sexes. Quelles en seront les conséquences pour la réalisation de l’égalité des sexes et du développement durable – Ces deux questions sont indissociables, mais pour bien comprendre le discours sur l’égalité des sexes et le développement durable dans le contexte de Rio +20, il faut revenir sur certains événements remarquables qui ont orienté la première Conférence de Rio il y a 20 ans.
Le lien entre le désarmement et le développement durable
Vingt ans après le Sommet de la Terre historique de 1992, le monde s’apprête à se réunir pour assister à une autre conférence de la même ampleur avec, il faut espérer, un plus grand nombre de résultats positifs. S’appuyant sur les engagements adoptés par la communauté internationale au cours des deux dernières décennies, la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement – Rio +20 – devrait ouvrir la voie au lancement d’un agenda du développement durable revitalisé qui prend en compte la nature complexe des causes profondes de la pauvreté qui sont au coeur des effets dévastateurs de la dégradation de l’environnement, ainsi que le caractère transversal de cette question qui est ancrée dans presque toutes les activités économiques de sociales de l’humanité. La conférence, qui se tiendra à Rio de Janeiro du 20 au 22 juin 2012, doit prendre en compte les « problèmes nouveaux et émergents » auxquels le monde est confronté aujourd’hui et formuler ses résultats en fonction de quatre objectifs de base : la mise en oeuvre, la cohérence, l’intégration et la responsabilité.
Gérer les questions indissociables de l'eau, des terres et de l'énergie pour assuer un développement durable
Nous vivons dans l’anthropocène où les êtres humains sont devenus une force majeure de l’environnement. L’augmentation des salaires et la réduction de la pauvreté ont coïncidé avec une demande croissante pour les biens et les services, comme la nourriture et l’énergie, ce qui a augmenté les pressions exercées sur les ressources naturelles et les écosystèmes, y compris la surexploitation et la dégradation. Les changements climatiques contribuent également à la situation, car certaines mesures d’adaptation et d’atténuation, comme l’irrigation, la désalinisation ou les biocarburants, sont également exigeantes en ressources.
La faim - une menace à la sécurité nationale
Bien que l’expression « sécurité alimentaire » ait été inventée il y a 16 ans seulement, l’humanité lutte contre la famine et la faim depuis les anciens temps. L’accord du Sommet alimentaire mondial de 1996, fondé sur le concept que la sécurité alimentaire existe « lorsque tous les êtres humains ont, à tout moment, un accès physique et économique à une nourriture suffisante, saine et nutritive pour mener une vie saine et active », a donné une nouvelle vision aux efforts menés pour combattre la faim et la malnutrition. Selon cette définition, la sécurité alimentaire est multidimensionnelle et touche les populations aux niveaux mondial, régional, national, sous-national ainsi que les ménages.
Mobiliser la communauté mondiale pour atteindre l’ODD 14
L’une des périodes de ma vie la plus enrichissante sur le plan intellectuel, la plus ambitieuse sur le plan politique et la plus satisfaisante sur le plan personnel fut la période où j’ai travaillé, en tant que conseillère de l’ancien Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon, avec les États Membres et les peuples du monde entier afin de définir le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Adopté par les dirigeants mondiaux lors de la cérémonie d’inauguration en 2015, ce plan d’action d’importance historique a intégré 17 objectifs de développement durable (ODD), ouvert la voie vers un avenir fondé sur la dignité, la prospérité et la paix pour tous. À ce stade encore très précoce où nous nous efforçons d’exploiter les possibilités offertes par ce Programme et de remplir nos promesses, c’est pour moi un très grand honneur d’avoir été choisie par l’actuel Secrétaire général António Guterres en tant que Vice-Secrétaire générale et donc de servir les peuples du monde entier dans cette tâche essentielle.
Malawi : revers de fortune
L’agroalimentaire doit primer en Afrique
Know your ocean. Love your ocean.
I was woken in the middle of the night by a thud on the hull of our boat. We rushed up on deck to find we were surrounded by pieces of plastic floating in the ocean. It didn’t make any sense. We were over 1000 miles from land. The closest people to us were in the International Space Station, in orbit above our heads. And yet here was evidence of human life, and waste, all around us in one of the most remote parts of our planet.
Portugal and the ocean economy
Today, our world is facing the challenge of understanding and living through the Anthropocene. Although this epoch is not yet officially recognized, it is increasingly accepted that we are in a special subdivision of the geological timescale, one in which human activity has a direct impact on our planet in terms of climate and the availability of natural resources.
Boosting African farm yields
Young at 70: The promise of the United Nations work with and for youth
The case for state intervention
An era of unprecedented opportunity?
Sierra Leone: nursing agriculture back to health
Secretaries-General of the United Nations
Rape as a war crime; Saving succeeding generations
A key United Nations moment and its lessons
The Arctic Ocean and the sea ice is our nuna
The Arctic is our Nunaat—our homeland. Nuna is land; Nunaat is homeland. As Inuit, we are intimately connected to the past, both distant and more recent. Why are we so closely tied to the Arctic marine ecosystem? We depend on it for our identity as indigenous peoples of the Arctic, for food security, for our transportation needs and mobility—for our future.
Tourism: Committed to preserving life below water
When we close our eyes and think about holidays, we dream of islands and seaside destinations, since such places have traditionally been depicted as the ideal locations for a perfect trip.
The spectre of the Khmer Rouge over Cambodia
Is Africa’s land up for grabs?
The first 70 years of the United Nations achievements and challenges
Can we save coral reefs?
The United Nations has reported that 70 per cent of the Earth’s coral reefs are threatened: 20 per cent have already been destroyed with no hope for recovery, 24 per cent are under imminent risk of collapse, and an additional 26 per cent are at risk due to longer-term threats. Coastal ecosystem degradation is especially problematic, as 40 per cent (3.1 billion) of the world’s population lives within 100 kilometres of the ocean, which means that massive losses to coral reef ecosystems are also an economic and social issue.
Losing 25,000 to hunger every day
Go circular
The circular economy is a tangible set of solutions – and our best chance of reaching sustainable patterns of production and consumption. The implications are enormous, not just for the way we do business, but also for the jobs of the future and for the natural world that surrounds us.
Fighting African poverty, village by village
Feeding the hungry in Africa: Not all is lost
Are human rights universal?
Mobilizing the global community to achieve SDG 14
One of the most intellectually engaging, politically challenging and personally gratifying periods of my life was the time I spent as an adviser to former United Nations Secretary-General Ban Ki-moon, working with Member States and people across the world to articulate the 2030 Agenda for Sustainable Development. Adopted by world leaders at a moving ceremony in 2015, this landmark plan, encapsulated in 17 Sustainable Development Goals (SDGs), points the way towards a future of dignity, prosperity and peace for all. At this still-early stage in our efforts to seize the Agenda’s potential and fulfil its promises, I am deeply honoured to have been asked by current Secretary-General António Guterres to serve as his Deputy, and thereby to again serve the world’s people in this essential work.
Innovation 01. The air we breathe
Every year, nearly 4 million people die from outdoor air pollution – that’s more than are killed by AIDS, malaria and tuberculosis combined. Nearly 90 per cent of those deaths occur in low- and middle-income countries, which typically lack the capacity to monitor the quality of their air.
Biofuels are no villain
Despite climate change, Africa can feed Africa
Africa wired
We need more agribusiness in Africa
Lighting the way
The Dominican Republic emits less than 0.1% of global emissions of greenhouse gases (GHGs), but, as part of an island, the country is very vulnerable to the impacts of climate change through increased temperatures, sea level rise and rainfall variability. Studies have shown that the country is already experiencing the effects of climate change through the increased intensity and frequency of tropical storms. The Dominican Republic has been classified as the eighth country in the world that was most affected by extreme weather events between 1993 and 2012. In view of the above, the country has come up with a set of policies aimed at preserving existing resources, achieving the objectives of sustainable development and increasing the resilience of ecosystems and human communities to the adverse effects of climate change. In all of these policies, consensus and the participation of all sectors of society has been critical.
Time to deliver
Two years ago, I was honoured to participate in the inaugural United Nations Environment Assembly, the world’s highest-level decision-making body on the environment, comprising all 193 United Nations Member States, and involving major stakeholders from business and civil society. The establishment of the UNEA by the 2012 Rio+20 UN Conference on Sustainable Development marked a coming of age for both UNEP and global environmental governance. It was testimony to the growing recognition that without careful management of the environment we will not succeed in our efforts to reduce poverty, improve global health and secure enduring peace and stability.
The Global Environment Facility at work. Livestock for life
Esperanza Solís is a mother, grandmother and farmer - she is also one of Panama’s true environmental champions. As secretary of the May 1st Farmer’s Settlement, she has turned her dedication to improving the life of her community into a nationally-renowned example of sustainable agriculture, proving that livestock farming and conservation can thrive side by side.
