الزراعة والتنمية الريفية والغابات

كلاسلأاو بوّطلا نم ةروضرلاب ةنّوكم ،مويلا ،دودحلا دعت مل لىع دمتعي كّرحتم زجاحب ةهيبش تحبصأ لب ةكئاشلا .يننطاولما لّقنت لىع دويق ضرفل ينناوقلاو ةمّدقتُلما تايجولونكتلا.ةرهاظلا هذه ةدح نم -19ديفوك ةحئاج تداز دقو

،ةيشربلا ةايحلل بركأ ةميق حنم ليبق نم رهاوظلا نم ددع نع انوروك ةحئاج تحصفأ ئنل ،ةلودلا ةطلس قاطن دّدمتو ،انتايح لىع يّبط عباط ءافضإو ،ةّوقب ةيحصلا ةطلسلا دوعصو. ةيرخلأا هذه اهنع تفشك امّنإو ةمزلأا عم دلوت مل رهاوظ يهف

Inégalités sociales, violences de genre, mal-logement, systèmes de santé défaillants : la crise sanitaire a mis à nu les fractures qui divisent nos sociétés. Pour changer de monde, il faudra relever des défis auxquels nous n’avons pas su faire face jusqu’ici.

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, le 10 décembre 1998, un groupe d’activistes sud-africains a lancé la Campagne d’action en faveur des traitements (TAC). Sa création, exactement 50 ans après l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, ne tient pas du hasard. L’épine dorsale de la Campagne est le recours à la sensibilisation pour promouvoir la réalisation du droit à la santé qui est consacrée à la fois dans les traités internationaux et dans la Constitution sud-africaine.

Dans le contexte de l’épidémie de VIH en Papouasie- Nouvelle-Guinée, les travailleurs du sexe et les hommes qui ont des rapports sexuels avec d’autres hommes (MSM) ont des pratiques sexuelles à risque qui sont sanctionnées par des lois pénales archaïques. Ces personnes continuent d’être confrontées aux préjugés, à la condamnation morale et à la violence de certains secteurs de la société ainsi qu’au harcèlement et au chantage de la police qui s’en prend particulièrement aux MSM. Leur vulnérabilité à la violence les contraint à se cacher, les privant ainsi des services de prise en charge, ce qui a des conséquences sur la riposte nationale au sida. Les activités d’éducation, menées actuellement par des groupes de MSM et des travailleurs du sexe, semblent toutefois améliorer l’attitude de la police.

2011 marque le trentième anniversaire du premier rapport sur le VIH publié par les États-Unis qui décrivait des cas d’une maladie inhabituelle parmi les jeunes homosexuels. Trente ans plus tard, les pays touchés par l’épidémie et la rapidité de son évolution ont changé de manière significative. On estime que 33,3 millions de personnes sont infectées par le VIH dans le monde, dont 22,5 millions en Afrique subsaharienne. Sur les 2,5 millions d’enfants vivant avec le VIH, 2,3 millions se trouvent également en Afrique subsaharienne. L’Afrique australe, la région la plus touchée, comprend des pays à revenu intermédiaire (tranche supérieure et inférieure) connus comme des pays hyperendémiques.En Afrique australe seulement, on compte 5,7 millions de personnes vivant avec le VIH/sida. Au Swaziland, 42 % des femmes qui fréquentent les centres de soins prénatals sont infectées, les taux étant similaires dans les autres pays de la région. Cela affecte les enfants de différentes façons : leurs parents ou les membres de leur famille sont malades et sans ressources à cause de l’épidémie, et ceux qui ont perdu leurs parents sont moins susceptibles d’être scolarisés ou de poursuivre leurs études.

Déjà ébranlé par la crise économique et la pandémie mondiale, le Liban a été frappé par deux explosions meurtrières qui ont fait près de 200 victimes et détruit une partie de la capitale, Beyrouth, le 4 août 2020.

Nathalie Strub-Wourgaft est l’une des initiatrices de la Coalition pour la recherche clinique sur le Covid-19 lancée en avril par des institutions scientifiques, médecins, bailleurs de fonds et décideurs politiques de près de 30 pays pour promouvoir la recherche dans les pays à faibles revenus. Elle plaide en faveur d’une recherche spécifique adaptée à ces pays.

Si la communauté des homosexuels a appris quelque chose au début de l’épidémie du VIH/sida aux États-Unis, c’est bien cela. Personne ne savait ce qui arrivait, les gens mouraient en grand nombre autour de nous. La communauté a perdu des amis, des collègues et des partenaires. Ayant été initialement nommé à tort « déficit immunitaire lié à l’homosexualité » (GRID), un temps précieux a été perdu dans la réponse à la crise parce que la plupart des gens étaient persuadés qu’ils ne faisaient pas partie de la population à risque. Les premières victimes étant principalement des homosexuels, la stigmatisation liée à l’homosexualité dans les institutions médicales, gouvernementales, religieuses et celles chargées de la répression est devenue un obstacle à la compréhension, à la prévention et au traitement de la maladie.

C’est l’histoire d’une stèle funéraire grecque datant du ive siècle avant J.-C., mise en vente par une célèbre maison d’enchères en 2017. Malgré les mises en garde d’un expert concernant sa provenance douteuse et les preuves avancées, la pièce n’est pas retirée du catalogue. Il faudra plus d’un an et de nombreuses démarches pour que la stèle soit finalement restituée aux autorités grecques. Récit.

Valeur supérieure accordée à la vie humaine, montée en puissance du pouvoir sanitaire, médicalisation de nos existences, extension de la puissance étatique : ces phénomènes ne sont pas nés de la crise provoquée par la pandémie mais ils ont été révélés par elle.

Le VIH/sida est particulièrement grave en Afrique où les femmes supportent le fardeau disproportionné de l’épidémie. L’un des défis les plus cruciaux en matière de prévention du VIH est de réduire les taux d’infection élevés parmi les jeunes femmes. À l’échelle mondiale, plus de la moitié des personnes vivant avec le VIH sont des femmes et 70 à 90 % sont contaminées lors de rapports hétérosexuels1. En Afrique subsaharienne, les femmes séropositives âgées de 15 à 24 ans représentent 76 % de l’ensemble des cas pour cette tranche d’âge et ont huit fois plus de chances d’être infectées que les hommes1. Bien qu’aux États-Unis, les nouveaux cas d’infection touchent principalement les homosexuels, la transmission hétérosexuelle concerne 84 % des femmes.

Instrument juridique de premier plan pour lutter contre le pillage et le trafic illicite, la Convention de l’UNESCO adoptée en 1970, en posant les principes de responsabilité partagée et d’équité culturelle, a aussi ouvert la voie au droit des peuples à disposer de leur culture.

Confronté à un engouement mondial pour ses antiquités, le pays a adopté des lois strictes pour juguler l’exportation illicite de son patrimoine archéologique et culturel. Mais la mise en oeuvre de ces lois reste un défi majeur en raison de la pauvreté qui alimente le pillage et de l’insuffisance du personnel de surveillance des sites.

Depuis une trentaine d’années que le monde est confronté à l’épidémie du VIH/sida, des méthodes de prévention ont été scientifiquement prouvées et portées à la connaissance du public. Pourtant, selon la Commission de haut niveau sur la prévention du VIH créée par le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/ sida (ONUSIDA), il y a au moins 7 000 nouvelles infections à HIV par jour, un chiffre alarmant qui indique que la sensibilisation sur le VIH/ sida est une question encore trop négligée par les gouvernements, la société civile et le secteur privé. Un effort important a été fourni à l’échelle mondiale en matière de prévention du VIH lorsque la maladie a commencé à se propager rapidement dans les pays en développement au début des années 1990 mais, plus récemment, une quantité de fonds disproportionnée a été allouée au traitement plutôt qu’à la prévention. Il est évident que la prévention est la méthode la plus efficace pour ralentir la propagation de cette terrible maladie, mais les décideurs continuent de considérer la prévention comme un problème de santé, et non comme un problème de société.

La réponse des communautés religieuses face au VIH/sida a initialement été le doute, ensuite le déni, puis l’hésitation au nom de la morale – voir même la dénonciation directe – pour finalement s’inscrire dans le cadre d’une réponse de portée mondiale. Cela montre à la fois la force et les défis que représentent les croyances, les morales et la théologie. Cela montre aussi qu’une action commune sur une question aussi importante que le partage des préoccupations peut permettre de réduire le fossé entre la foi et la culture.

Les sites de ventes aux enchères et les réseaux sociaux sont devenus en quelques années des plaques tournantes du trafic illicite des biens culturels. Si Facebook a récemment proscrit le commerce des antiquités sur sa plateforme, il reste beaucoup à faire pour juguler ce commerce qui offre aux trafiquants une vitrine planétaire.

Que se passe-t-il donc avec nous, les femmes et les filles ? Pourquoi sommes-nous toujours reléguées au second plan ? Pourquoi ne pouvons-nous pas choisir ce à quoi nous voulons faire partie ? Pourquoi devons-nous toujours être en première ligne alors que nous préférerions qu’on nous laisse tranquilles lorsque nous ne voulons pas participer ? Est-ce parce qu’en tant que femmes, nous sommes fortes, puissantes et la base de notre société ?

À Tongling, en Chine orientale, un musée d’un genre nouveau présente virtuellement des objets de cuivre et des bronzes millénaires datant de la dynastie Han, dont beaucoup se trouvent à l’étranger. Il préfigure ce que pourraient être les musées numériques de demain : des acteurs capables de partager leurs ressources et d’offrir un accès sans précédent à leurs collections.

La communauté internationale a atteint la première étape du sixième objectif du Millénaire pour le développement : stopper et inverser la propagation du sida. Au moins cinquante-six pays ont stabilisé ou réduit de plus de 25 % les nouvelles infections liées au sida au cours des dix dernières années et cela est particulièrement évident en Afrique subsaharienne, la région la plus touchée par l’épidémie. Les nouvelles infections au VIH parmi les enfants ont baissé de 25 %, un progrès important dans l’élimination virtuelle de la transmission du virus de la mère à l’enfant d’ici à 2015. Aujourd’hui, plus de cinq millions de personnes reçoivent un traitement antirétroviral, ce qui a réduit les décès liés au sida de plus de 20 % au cours des cinq dernières années. Toutefois, avec plus de 33 millions de personnes séropositives aujourd’hui 2,6 millions de nouvelles infections au VIH et près de 2 millions de décès en 2009, la lutte contre le sida reste incertaine.

По данным ЮНЕСКО, в результате пандемии 90 % всех учащихся в мире, то есть около полутора миллиардов человек, лишились возможности посещать учебные заведения. Школам и вузам в одночасье пришлось перейти на дистанционное обучение и изыскивать новые методы преподавания.

The discovery of antiretroviral (ARV) treatment for people living with HIV (PLHIV) is one of the best success stories of medical research in recent years. It has changed the way in which HIV is viewed—from that of a death sentence to a chronic illness. However, lifelong treatment requires constant access to newer drug regimens, as an HIV-infected person either develops serious side effects, or the virus becomes resistant to the drugs. While patients in developed countries have treatment options, the same cannot be claimed for those in developing countries. With more than twenty approved antiretroviral drugs, the global HIV drug market is estimated to approach $16 billion by 2016. Yet, not all ARVs, especially newer and more potent treatments, are licensed or available in every country, particularly in the global South. Why is there such a gap in access to treatment between industrialized and developing countries? Why are newer, more potent, less toxic ARVs not available to PLHIV in the global South? How can this growing disconnect between treatment options be altered?

In the context of the HIV epidemic in Papua New Guinea, sex workers and males who have sex with males (MSM) engage in potentially risky sexual practices which remain under archaic criminal laws.1 Those at risk continue to face prejudice, moral condemnation, and violent abuse from some sectors of society, as well as harassment by police and blackmail, which are aimed especially at MSM. Their vulnerability and lack of security impacts on the national response, as it drives them underground and alfects their access to treatment and services. However, ongoing educational projects by MSM groups and sex workers appear to be improving police attitudes.

In our contemporary globalized world, women and adolescent girls in various countries across the globe continue to face constant hardships and obstacles, ranging from gender-based violence to prevalent gender inequalities and deeply rooted gendered socio-cultural norms, which hinder their emancipation and development and negatively impact the implementation of gender equality and rights. Despite these circumstances, different advancements, such as emerging innovative solutions and technologies, can play a significant role in relation to the development and empowerment of women in various sectors of society globally. It thus becomes ever more necessary to apply cross-cutting approaches, such as a critical gender lens and a rights-based approach1 to a wide range of development sectors and issue areas, including, but not limited to, education, political participation, and economic development, while considering, at the same time, the role that technology can have in these domains and analyzing its socio-cultural, global implications.

A patriarchal society confers the title of “breadwinners” on ‘him’ and bestows them with the responsibility to earn for the family. This confers another title on him as “head of the family” which thematically corresponds to “white man’s burden” as it creates an illusion that only men are capable of earning for the family. Unfortunately, the phrase “the father is the head of the family” is taught already as a lesson in pre-primary school thereby sowing the seeds of inequality in innocent minds. This illusion, born from the patriarchal mindset, laid the foundation for the socio-economic gender inequalities present today and is the root cause of intergenerational inequality faced by women.

Preparing young people for the diplomatic and international careers of today means facing the new international crises with an innovative and global vision that analyzes their real causes first and then provides adequate and effective responses over time. Furthermore, a greater synergy with international organizations such as the United Nations (UN) is needed. In this regard, the European Association of International Studies (AESI) usually organizes two missions in Geneva in coordination with the Italian Representation at the United Nations agencies. Unfortunately, the health emergency has not allowed this tradition to continue this year, but the liaison with the Director-General of the UN Agencies in Geneva, Ms. Tatiana Valovaya, is still vigorous and the activities promoted by AESI for young university students are considered of great importance. Indeed, AESI is strongly convinced that only by investing in the new generations with innovative and global training, which envisage above all concrete contacts with international actors such as the UN and the European Union (EU), we can achieve a future of peace and promote a culture of solidarity. Furthermore, we believe that the interaction with young university students who are preparing for diplomatic and international careers can also enrich international organizations through a deeper understanding of young people’s perspectives, enhancing also their creative solutions to crises. The Director-General of the United Nations Agencies in Geneva illustrated in her Message to AESI what the priorities of this health emergency are, but she also encouraged the UN to listen to the new generations. She invited students to send them messages and contributions. The Director-General also expressed her wish to meet with the young AESI members in Geneva when it will be possible. The University will play a great role in the future, not only with respect to the international relations dimension, but above all with the involvement of young people in the process of renewing peace promotion strategies in crisis situations. The United Nations has discovered this great added value and for this we also thank the United Nations Director-General of Geneva.

To prevent the spread of Covid19, many governments have been taking strict measures such as closing borders, imposing nationwide lockdowns and setting up quarantine facilities. While these measures may ensure that social distancing is followed seriously, they may have indirect effects on the economy and adverse effects on the well-being of people, especially the vulnerable population.

نوكيس .هانفرع يذلا ملاعلا نع افلتخم نوكيس مداقلا ملاعلا لوقت اذكه .ةيحلا سانجلأل اماترحا رثكأو ،لوهجملل اريدقت رثكأ.غنيم غنوي ياشت ةرعاشلا

ترهظ يتلا ةيبئاجعلا يرقاقعلا نم ضعب كلت ،لفلفلا ءاسح ،”مينلا“ قاروأ ،دوسلأا ياشلا ،ةيحصلا ةمزلأا هذه ّلظ في ،تشرتنا ثيح ،19 ـ ديفوك جلاعل نكاملأا نم اهيرغو ايقيرفإ في ءابو“ ةحفاكلمو .يعامتجلاا لصاوتلا تاكبش برع ةرماؤلما تايرظنو ةفئازلا تامولعلما رابخلأا راشتنلا يدصّتلا في اهتايلوؤسم لّمحت ةيمقرلا تاّصنلما لىع ّيينعتي ،اذه ”تامولعلما.ةيملاعلإا ةيارّدلا ةيمنتو ةفئازلا

يتلا خوّششرلاو تاعّدصتلا نع راتّسلا ةيحصلا ةمزلأا تحازأ دقل نكس فورظو ،سنجلا لىع مئاق فنع نم ،انتاعمتجم ّقشت ،ملاعلا اذه يريغت اندرأ ام اذإو .ةيحصلا ةمظنلأا فعضو ،ةيرزم.نلآا ىتح اهتهجاوم نم نّكمتن مل يتلا تايّدحتلا عفرن نأ انيلعف

نم فلاتئلاا ءاشنإب نيردابلما نم ةدحاو يه ،تفاغروو ـ بوترس لياتان ،ليربأ في ،هأشنأ فلاتئا وهو ،19 ـ ديفوك نأشب ةيريسرلا ثوحبلا لجأ رارقلا باحصأو ،ةحنالما تاهجلاو ،ءابطلأاو ،ةيملعلا تاسسؤلما نم ددع نادلبلا في يبطلا ثحبلاب ضوهنلا لجأ نم ،ًادلب 30 لياوح نم ،سيايسلا بسانتت ةيصوصخ ثوحب ءارجإ لىإ ةثحابلا هذه وعدتو .لخّدلا ةيندتلما.فيعّضلا لخدلا تاذ نادلبلا عاضوأ عم

Epidemics and pandemics are not new phenomena. Leprosy, plague, cholera and smallpox have all left their deadly mark on human history. They have also led humans to question themselves, and often result in positive change.

The first effective attempt to promote children’s rights was the Declaration of the Rights of the Child, drafted by Eglantyne Jebb in 1923 and adopted by the League of Nations in 1924. On 20 November 1959, the United Nations General Assembly adopted a much expanded version as its own Declaration of the Rights of the Child, with ten principles in place of the original five. The United Nations Convention on the Rights of the Child (UNCRC) was the first legally binding international instrument to incorporate the full range of human rights, describing child-specific needs and rights.3 These human rights included civil cultural, economic, political, and social rights, as well as aspects of humanitarian law.3 The UNCRC was signed in 1989, and entered into force in 1990. As of May 2010, it had 193 parties which had ratified, accepted, or acceded with stated reservations or interpretations, including every member of the United Nations except Somalia and the United States, which have only signed.

In 1978, the Declaration of Alma-Ata at the International Conference on Primary Health Care launched primary health care as a route to better health for all. The ambition was bold. The Declaration of Alma-Ata responded to a world characterized by vast and largely avoidable differences in the health status of populations, and mapped out a strategy for reducing these gaps through fundamental changes in the way health systems were organized and care delivered. As the Declaration of Alma-Ata argued, enlightened policy that made fair access to health care an explicit objective could raise the level of health within populations, enabling people to lead socially and economically productive lives, and thus driving overall development.

The world has been living with the HIV/AIDS epidemic for some thirty years, and prevention methods have been scientifically proven and disseminated to the public for nearly as long. Yet, there are, according to the Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) High Level Commission on HIV Prevention, at least 7,000 new HIV infections every day—an alarming number that indicates HIV/AIDS awareness is at an unacceptable level of neglect by governments, civil society, and the private sector. There was a strong worldwide effort towards HIV prevention when the disease began spreading rapidly throughout the developing world in the early 1990s but, more recently, a disproportionate amount of funding has been directed towards treatment, rather than prevention. Obviously, prevention is the most effective method in slowing down the spread of this terrible disease, but decisionmakers still view HIV prevention as a health problem, not a societal one.

In the beginning, the AIDS epidemic struck like a thief in the night—suddenly, terrifyingly, and deadly. At first, there were a few cases of a rare malignancy Kaposi’s sarcoma; then came the appearance of Pneumocystis pneumonia-, and finally a plethora of opportunistic infections including systemic candidiasis, cryptococcal meningitis, and Mycobacterium avium-intracellulare—all rare diseases associated with this new mysterious, unknown, and unnamed spectre.

Local and natural – Freda Obeng- Ampofo would have it no other way. As long as the owner of Ghanaian cosmetics line KAEME can remember, she has been using shea butter and black soap (roasted cocoa pods, plantain bark and coconut oil) as her only two care products.

The coronavirus pandemic has triggered a new economic paradigm that is as unprecedented and radical as the Great Depression. Although the economic consequences of this global crisis are still unfolding, its impact on African economies is already alarming.

Mahfuzul, an aspiring entrepreneur from Bangladesh, has no doubt that he will be able to turn his dream of running his own business into reality.