Nations Unies
Lénergie durable en Islande : un modèle pour le monde?
La protection des droits des migrants et la souveraineté de l’État
Le renforcement des partenariats et la coopération en matière de migration internationale
Réduire les coûts liés à la migration et augmenter les avantages
Face aux 60 millions de réfugiés, nous devons prendre des engagements
La responsabilité de protéger
Lors du Sommet mondial de 2005, tous les chefs d’État et de gouvernement ont affirmé la responsabilité de protéger les populations du génocide, des crimes de guerre, du nettoyage ethnique et des crimes contre l’humanité. La responsabilité de protéger (souvent appelée « R2P ») repose sur trois piliers égaux : la responsabilité de chaque État de protéger ses populations (pilier I); la responsabilité de la communauté internationale d’aider les États à protéger leur population (pilier II) ; et la responsabilité de la communauté internationale de protéger lorsque, manifestement, un État n’assure pas la protection de sa population (pilier III). L’adoption du principe en 2005 a constitué un engagement solennel qui incluait l’espoir d’un avenir sans ces crimes.
La mondialisation de la migration: ce que le monde moderne peut apprendre des cultures nomadiques
Comment les énergies renouvelables peuvent être concurrentielles en termes de coûts
La migration, le développement durable et le rôle des entreprises
LODD 7 et le développement de lénergie durable en Amérique latine et dans les Caraïbes
Le programme 2030 – Une occasion unique pour sattaquer aux facteurs qui favorisent la propagation du terrorisme
Malgré les efforts menés par la communauté internationale pour arrêter le terrorisme et empêcher les combattants étrangers de rejoindre l’organisation terroriste appelée l’État islamique d’Iraq et du Levant (EIIL), leur nombre a plus que doublé en un an et demi. On estime que plus de 30 000 individus venant de 100 pays – plus de la moitié des États Membres des Nations Unies – ont rejoint leurs rangs en tant que combattants étrangers. Rien ne peut justifier un acte de terrorisme. Aucun prétexte religieux ne peut excuser des méthodes violentes. D’autre part, nous ne serons en mesure de vaincre le terrorisme à long terme que si nous nous attaquons aux facteurs qui favorisent sa propagation. Cette réalité a été soulignée dans plusieurs résolutions du Conseil de sécurité comme, entre autres, les résolutions 1963 (2010) et 2129 (2013) concernant les menaces les plus graves contre la paix et la sécurité internationales en général et le terrorisme en particulier. L’accent a également été mis sur le premier pilier de la Stratégie antiterroriste mondiale des Nations Unies (A/RES/60/288) concernant les conditions propices à la propagation du terrorisme. Plus récemment, le Programme d’action du Secrétaire général pour la prévention de l’extrémisme violent (A/70/674) précise certaines de ces conditions : le manque d’opportunités socio-économiques, la marginalisation et la discrimination, une mauvaise gouvernance, les violations des droits de l’homme et de l’état de droit, des conflits prolongés et non résolus et la radicalisation dans les prisons.
La feuille de route du Nouveau Programme pour les villes pour la planification du développement spatial des villes: Concrète, gérable et mesurable
En 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le Programme de développement durable à l’horizon 2030 qui contient 17 objectifs de développement durable (ODD). Ce Programme a fixé le rythme de la Conférence des Nations Unies sur le logement et le développement urbain durable (Habitat III) qui se tiendra du 17 au 20 octobre 2016 à Quito, en Équateur. Si l’ensemble des ODD est important pour Habitant III, l’objectif 11 « Faire en sorte que les villes et les établissements urbains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables », et ses sept cibles associées, est particulièrement important, car il englobe plusieurs composantes qui rendent les villes et les régions durables, y compris le logement, les transports, la planification, le patrimoine culturel et environnemental, la réduction des risques de catastrophe, l’impact environnemental et l’espace public.
Financer l’énergie durable pour tous
Promouvoir la paix et le développement durables : Une volonté sincère de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030, adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 25 septembre 2015, reconnaît non seulement que la paix et la sécurité sont des conditions préalables à la réalisation du développement durable, mais que ce dernier ouvre la voie à l’édification de sociétés pacifiques.
Transformer les établissements en Afrique
De mon point de vue, l’urbanisation durable en Afrique est associée aux partenariats. À Jinja, en Ouganda, mon pays, la Fédération nationale des habitants de taudis d’Ouganda (National Slum Dwellers Federation of Uganda — NSDFU) a établi un partenariat solide avec le gouvernement. Dans cet article, je soulignerai quelques leçons apprises sur les éléments essentiels de ce partenariat qui pourraient être utiles à d’autres communautés et à d’autres villes. Mon expérience à Jinja reflète aussi ce que j’ai appris des associations internationales membres de Slum Dwellers International (SDI).
Le rôle des combustibles fossiles dans un système énergétique durable
Le système des organes conventionnels des droits de l’homme est-il en crise?
La Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, « un document court, composé de 30 articles [...] a probablement eu un plus grand impact sur l’humanité que tout autre document dans l’histoire des Nations Unies moderne », a dit en 2008 Navi Pillay, Haut-Commissaire aux droits de l’homme des Nations Unies alors en fonction. En décembre 1966, il y a un demi-siècle, les Nations Unies ont officiellement transformé les promesses rhétoriques de cette déclaration en des obligations juridiquement contraignantes en adoptant le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Depuis, les efforts déployés au niveau mondial pour surveiller et suivre les violations des droits de l’homme se sont intensifiés.
Changements climatiques et conflits : Inversement des rôles ou nouvelles tensions et inégalités?
Les Accords de Paris, adoptés lors de la XXIe Conférence des Parties (COP 21) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui s’est tenue en décembre 2015, inaugurent une nouvelle évolution dans nos efforts visant à atténuer les conséquences néfastes des changements climatiques. Cela indique, de nombreuses façons, comment les politiques liées aux changements climatiques ont abandonné le prisme étroit des préoccupations environnementales pour un nouvel ordre mondial où la transition vers un développement à faible teneur en carbone a d’importantes ramifications économiques, sociales et culturelles.
