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Le Courrier de l'UNESCO - Volume 2020, Issue 4, 2020

Volume 2020, Issue 4, 2020

Au printemps dernier, la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 (coronavirus) a mis le monde entier à l’arrêt. Le trafic illicite des biens culturels, lui, n’a pas cessé. Au contraire. Les trafiquants de biens culturels ont profité du relâchement de la surveillance des sites archéologiques et des musées pour se livrer à des fouilles sauvages et des vols, en toute impunité. Les chiffres le montrent : l’attrait pour les mosaïques, les jarres funéraires, les sculptures, les statuettes ou les manuscrits anciens n’a jamais été aussi fort. Cette pression de la demande contribue à alimenter le marché illégal des œuvres d’art et des antiquités qui s’opère désormais en grande partie en ligne, via des plateformes souvent peu regardantes sur la provenance d’origine des objets.

Language: French Arabic, Chinese, English, Russian, Spanish
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