Dossier. L’afrique, terre de patrimoine

Nous sommes vendredi matin à Gizeh, au Caire. La rue Abou al Hool est en pleine effervescence : des dizaines de personnes descendent des bus et des taxis pour faire la queue à l'entrée de la zone des pyramides de Gizeh. À l'intérieur, des chameaux emmènent les visiteurs autour du complexe, de la grande pyramide aux plus petites, et enfin aux points d'observation. Il y a des familles, des couples, des écoliers, des groupes de touristes, des créateurs de contenu et des explorateurs solitaires. Le long d'Abou al Hool, des boutiques vendent des parfums, des tapis, des vêtements traditionnels et des bijoux. D'innombrables hôtels et cafés sur les toits incitent les visiteurs à rester un peu plus longtemps en leur offrant des vues imprenables sur les pyramides, tandis que des calèches sont disponibles pour une visite de Gizeh au-delà des monuments.